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DeutschTrouvez votre vie dans votre unité avec Dieu !
Idées d’applications métaphysiques pour la leçon biblique trimestrielle de la Science Chrétienne sur
«Période probatoire après la mort »
du 22 au 28 avril 2024
par John et Lindsey Biggs, CS de Maryland Heights, MO
541 418 1176johnbiggscs@gmail.com
541 460 3515 biggs.lindsey@gmail.com
Introduction
La leçon biblique de cette semaine nous montre que notre vie procède de Dieu. Maintenir une unité active avec Dieu – une relation avec Dieu dans laquelle nous pouvons grandir chaque jour – nous donne une compréhension de notre unité avec Dieu qui ne peut jamais être interrompue. Maintenir une unité consciente avec Dieu nous donne la force et la capacité dont nous avons besoin pour réussir. La volonté de Dieu pour nous est le salut, alors voyons comment nous pouvons démontrer l’univers que Dieu a créé cette semaine – beau, entier, paisible, sain et saint.
Texte d’Or
J’adore le mot « confiance » ici dans ce Texte d’Or. Cela implique que nous ne travaillons pas seuls ! Nous nous appuyons sur un Principe divin bien plus grand que nous. Nous pouvons ressentir la présence de Dieu et céder à la puissance, à la douceur et à la perfection de Dieu au cours de notre journée.
Voici quelques vues élargies du mot confiance tirées du 1828 Webster’s Dictionary (dictionnaire Webster de 1828).
« une confiance ou un repos de l’esprit sur l’intégrité, la véracité, la justice, l’amitié ou tout autre principe solide d’une autre personne [c’est-à-dire de Dieu dans notre contexte actuel]….
Faire confiance, se confier; … se reposer sur; un usage fréquent dans les Écritures.
Et bien sûr, lorsque nous faisons confiance à Dieu, Dieu dirige nos chemins, nous donnant la confiance et la certitude que nous sommes sur la bonne voie. Nous n’avons pas besoin de compter sur notre propre intellect humain ou sur notre volonté. Nous pouvons faire confiance à Dieu en toute confiance, faire chaque pas avec Dieu et permettre à Dieu de guider nos pensées, nos motivations et nos actes.
LECTURE ALTERNÉE
Bible Lens Research a ce commentaire à ajouter en partie :
« En plus de porter des gilets pare-balles, les soldats romains protégeaient leurs pieds avec des sandales à pointes. Celles-ci leur permettaient de s’ancrer fermement au sol, un net avantage au combat. Ici, l’image s’applique à la préparation spirituelle, montrant la confiance dans la puissance de Dieu comme moyen d’armement pour la guerre divine.« (Bible Lens, Christian Science Sentinel, numéro du 22 avril 2024, traduction française pas autorisée)
Nous voulons être aussi clairs que possible sur ce qui est réellement réel et vrai – sans jamais suivre les courants de pensée mortels. Nous voulons nous réveiller en dégainant et en utilisant l’épée de l’Esprit, « avant qu’elle pût être remise dans le fourreau ». (extrait d’un article de Mary Baker Eddy intitulé « PUT UP THY SWORD » dans Miscellaneous Writings ,p. 214:14).
« Veillez, soyez sobre et vigilant. Le chemin qui mène à la compréhension que Dieu est la seule Vie est droit et resserré. » ( Science et santé avec la clef des Écritures, Mary Baker Eddy, p. 324 : 13-15)
Section 1 – La création de Dieu déjà parfaite et complète
La volonté de Dieu pour nous et pour la terre entière est le salut. Le salut est défini par Mary Baker Eddy dans le Glossaire de la Science et Santé comme « La Vie, la Vérité et l’Amour compris et démontrés comme étant suprêmes sur toutes choses; le péché, la maladie et la mort détruits. » (citation S4, SS p. 593:21).
Imaginez cela – un monde gouverné et contrôlé par l’Amour infini ! Ce serait en effet le salut. À mesure que nous nous approchons davantage de la lumière – l’illumination de l’Entendement divin – le manque d’illumination de l’entendement mortel disparaît. Ensuite, nous sommes gouvernés par l’Âme, le sens spirituel, – par Dieu – et non par le sens matériel ou la volonté humaine.
Nos démonstrations visent à prouver la suprématie de Dieu, le Bien, sur l’univers. Nous voulons prouver notre domination en tant que fils et filles de Dieu et vivre notre droit de naissance de Genèse 1.
La création de Dieu est déjà complète, déjà pure et sainte. Parce que cette vérité spirituelle est déjà la base de notre être, nous nous efforçons de la démontrer à partir de cette base (voir cit. S3, 3 : 7). C’est similaire à la façon dont un sculpteur voit déjà une belle forme dans le marbre, et il se contente simplement de tailler le marbre ce qui cache cette forme.
Section 2 – Jamais trop tard
Oh, Manassé. C’est un roi qui montre toutes les pires tendances des rois d’Israël et de Juda. Dans 2 Rois, Manassé est dépeint comme un roi terrible, point final (voir 2 Rois 20). Cependant, 2 Chroniques inclut cette histoire de la rédemption de Manassé (qui est unique aux Chroniques). Le Chroniqueur continue en disant que, dans le cadre de son repentir, il construisit un mur défensif pour Jérusalem, en le dotant de grands capitaines, et que «Il fit disparaître de la maison de l’Éternel les dieux étrangers et l’idole, et il renversa tous les autels qu’il avait bâtis sur la montagne de la maison de l’Éternel et à Jérusalem; et il les jeta hors de la ville. Il rétablit l’autel de l’Éternel et y offrit des sacrifices d’actions de grâces et de reconnaissance, et il ordonna à Juda de servir l’Éternel, le Dieu d’Israël. » ( 2e Chroniques 33:15 he, 16)
Que se passe-t-il ici avec cette narration ? Était-il un mauvais roi, ou était-il un roi égoïste qui ne se repentait que lorsqu’il était en difficulté ? Ou y avait-il peut-être quelque chose de plus ? Les deux livres des Chroniques sont intéressants et très spéciaux car, même s’ils peuvent sembler n’être rien de plus qu’un récit des livres de Samuel et des Rois, ils diffèrent en réalité sur de nombreux points. Essentiellement, les Chroniques ont été écrites après que les enfants d’Israël soient déjà revenus de l’exil babylonien et essayaient de découvrir ce qui se passait ; ils étaient rentrés chez eux, et pourtant les choses n’étaient toujours pas parfaites. Le Bible Project https://bibleproject.com/articles/chronicles-not-just-repeat/ nous donne ce joli résumé :
« … le Chroniqueur fait office de premier commentaire sur l’Ancien Testament. Il nous propose une interprétation prophétique de l’histoire d’Israël qui vise à guider l’attention du lecteur vers l’espoir d’un roi à venir qui rétablira l’ordre et suivra l’Éternel comme David l’a fait autrefois, du moins en grande partie. En d’autres termes, 1-2 Chroniques sont une « œuvre prophétique ». Autrement dit, ils représentent le point de vue de Dieu sur le passé d’Israël et annoncent que l’exil et la déception ne sont pas la fin de l’histoire. Cet auteur offre la même espérance prophétique que celle que nous trouvons dans les livres d’Ésaïe, de Jérémie et du reste des prophètes… Le livre des Chroniques est un voyage à travers tout l’Ancien Testament qui montre clairement que l’histoire n’est pas terminée. …. Et ce n’était pas seulement une théologie cool pour le Chroniqueur. Le message du livre a un objectif pastoral : apporter réconfort et espoir aux générations du peuple de Dieu qui ont été tentées par le désespoir ou l’apathie. À une époque où beaucoup se demandaient si Dieu allait un jour tenir ses promesses, le Chroniqueur a raconté l’histoire de leur passé collectif afin de raviver l’espoir pour l’avenir. » (traduction française pas autorisée)
Donc, dans cet extrait spécifique avec Manassé le Chroniqueur a tenu à préciser que personne n’est coincé dans la pire version de lui-même. Bien sûr, Manassé semblait se repentir seulement lorsqu’il se trouvait dans une situation désespérée. Mais n’est-il pas merveilleux qu’il se soit repenti et qu’il ne se soit pas condamné à rester coincé dans ses mauvaises actions passées ? Les livres des Rois servaient en partie de récits édifiants, et leur récit de Manassé n’avait qu’un seul objectif : montrer qu’un mauvais comportement ne mène qu’à la discorde. Mais… ce n’est pas vraiment intéressant ; les gens ont tendance à reconnaître que mal se comporter finit mal, et bien que cette leçon soit certainement nécessaire, le livre des Rois ne fait que l’enfoncer. Mais ce récit des Chroniques est très émouvant, retraçant le revirement complet de Manassé – et par extension, promettant le fait que ce revirement est possible pour nous tous. Et quel était l’essentiel ? Manassé a reconnu son erreur et s’en est repenti – une repentance active.
Il peut être difficile de reconnaître notre mauvais comportement, et il peut être difficile de remédier à la situation. Mais nous avons la promesse éternelle de l’amour de Dieu, dans les yeux duquel nous pouvons découvrir qui nous sommes vraiment – Son bien-aimé – et dans cette vision claire, nous découvrons comment nous pouvons être meilleurs, en nous élevant dans la force de Dieu. Il n’est jamais trop tard!
Section 3 – Faire la distinction.
En lisant ceci, j’ai été très frappé par la citation biblique 10, premier verset, où Paul dit, puis précise : « … Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair … » Il faisait une distinction entre lui-même – son identité, son entendement, son être – et un sens matériel de lui-même, comprenant la sensation matérielle, la définition, l’histoire et les perspectives. Cette distinction est très importante, car si nous incluons un sentiment limité de soi dans notre propre identification, nous pouvons essayer de réparer, de guérir, d’améliorer ou même simplement de gérer quelque chose qui n’a en réalité aucune part dans notre véritable identité.
Nous ne sommes pas matériels ! Bien sûr, cela ne surprendra pas de nombreux lecteurs de ce bulletin, mais j’ai trouvé très utile – et vraiment intéressant – de prendre en compte les implications de ce fait.
Les limites n’ont tout simplement aucune part dans notre être. Pourquoi? Parce que, en tant que reflet de Dieu, notre être tout entier dépend seulement de l’Amour infini. Voici un adorable article pour enfants qui partage une belle expérience née de la prise de conscience de sa dépendance totale à l’égard de Dieu : « Pauvre Dieu ? Impossible ! » https://fr.herald.christianscience.com/shared/view/1env57vaw6u?s=copylink ( extrait Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne – 17 septembre 2018 )
Section 4 – La présence immédiate de l’activité de Dieu.
Il y a un réel sentiment d’immédiateté qui imprègne pour moi cette section. La citation biblique 13 résonne particulièrement – l’appel humble et clair, demandant comment suivre Dieu. Tout le ministère de Jésus reposait sur le fait de l’immédiateté du ciel : que le ciel est ICI, et si on ne pouvait pas le voir, eh bien, repentez-vous – retournez-vous – changez de perspective ! Une partie intégrante de la présence du ciel est que travailler à l’intérieur du ciel – accomplir l’œuvre de Dieu, témoigner de sa volonté et de sa création – est une opportunité et une possibilité actuelles, donc cette chère ouverture et cette enquête honnête sur « que dois-je faire pour faire les œuvres de Dieu ? » est un exemple formidable et pertinent pour nous tous.
Et puis, dans la citation biblique 14, j’aime beaucoup l’exemple de la franchise de Paul – sa clarté sur le fait qu’il n’invente pas de choses ou n’essaye pas de rendre les choses plus brillantes qu’elles ne le sont, mais qu’il rend simplement un témoignage fidèle.
Et puis, bien sûr, il y a la citation biblique 15, décrivant la rencontre des disciples avec Jésus après la résurrection et la finalité de sa présence. Je suis très reconnaissant pour cette clarté parce qu’elle montre vraiment que le christianisme, et la Science qui le sous-tend et le démontre, ne se contente pas de « penser de belles choses » ou d’essayer de manifester de belles choses dans nos vies. C’est l’activité naturelle de la présence du Christ, que Jésus a pleinement représentée et démontrée pour nous tous.
Admettre la réalité de la loi qui sous-tend le christianisme, c’est admettre son efficacité curative et salvatrice pour nous tous, car cette loi ne comporte aucune réserve ni aucune remise en question. Mary Baker Eddy écrit : « Dieu est la loi de la Vie, non de la mort; de la santé, non de la maladie; du bien, non du mal. Ce sont cette infinitude et cette unicité du bien qui réduisent au silence la supposition que le mal est un prétendant ou une prétention. » ( Écrits divers , 259 : 5) Cette loi pratique et actuelle et cette activité de la loi sont certaines et sûres. On peut compter sur elle !
Section 5 – Les bonnes motivations
« Si vous Télétravailler et priez avec des mobiles sincères … » (cit. S18, n326 : 3) C’est un merveilleux point de vérification. Quelles sont mes motivations ? est une excellente question à nous poser lorsque nous prions ou nous nous lançons dans une nouvelle entreprise.
Lorsque le motif est de bénir Dieu, alors il y aura beaucoup moins de « moi » sur le chemin. Nous serons même prêts à nous écarter du chemin pour que Dieu puisse être glorifié plus facilement. Par exemple, lorsque l’on travaille sur un projet de groupe, cela peut impliquer de prendre du recul, de donner du crédit aux autres et de les laisser briller. Ou encore, cela pourrait signifier apprécier silencieusement et humblement le Christ chez les autres tout en travaillant ensemble harmonieusement.
Il existe un excellent article intitulé « L’humilité » que j’apprécie dans le Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne – 29 janvier 2016 https://fr.herald.christianscience.com/shared/view/2k0n17cf8ma?s=copylink et qui contient quelques idées supplémentaires sur ce sujet.
Plutôt que de considérer sa propre unité avec Dieu, Simon pensait que la puissance de Dieu était quelque chose qui pouvait être achetée financièrement à Philippe.
Ces passages me viennent à l’esprit en pensant à cette histoire :
« La filialité spirituelle de l’homme est-elle un don personnel qui lui est fait, ou est-elle la réalité de son être, en Science divine? La connaissance qu’a l’homme de cette vérité sublime lui donne le pouvoir de démontrer son Principe divin, pouvoir qui, à son tour, lui est indispensable pour comprendre sa filialité, son unité avec Dieu, le bien. » ( Écrits divers , Mary Baker Eddy, p. 181 : 3)
« Il vous suffit de maintenir un sens positif et scientifique d’unité avec votre source divine, et d’en faire la démonstration quotidienne. Vous constaterez alors qu’un est aussi important que des duodécillions en étant bon et en faisant le bien, démontrant ainsi le Principe divin. » ( « La Chaire et la Presse » , Mary Baker Eddy, p. 4:9)
Section 6 – Se confier en Dieu, s’attendre à Dieu, le Bien
D’où vient vraiment la force ? La force est-elle mentale et spirituelle, ou est-elle physique ? Je suis sûr que nous avons tous vécu des expériences où nous nous sommes sentis imprégnés d’une force divine qui nous est venue d’une Source extérieure à nous-mêmes – en dehors du corps.
Nous pouvons examiner de nombreux exemples bibliques de force venant de l’Esprit. Cette section signifie une unité avec Dieu qui préserve la force, l’intégrité et la capacité. «Ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force…» (cit. B21, Ésaïe 40:31). Ce passage nous parle d’une belle relation que nous entretenons avec Dieu et que la force, l’intelligence et l’endurance reposent sur Dieu, le bien. Cela nous empêche de rechercher la santé, l’harmonie et le succès en nous-mêmes. Au lieu de cela, nous pouvons toujours nous tourner vers Dieu pour qui nous sommes, pour nos capacités, notre force et notre identité.
Bible Lens Research ajoute ceci à propos de ce passage d’Ésaïe :
« L’auteur détourne les gens d’une existence éphémère et mortelle vers la Parole éternelle de Dieu et sa promesse de délivrance. Ce verset leur assure que la confiance en Lui apporte vitalité et force. » ( « Bible Lens Research » , Christian Science Sentinel Numéro du 22 avril 2024, traduction française pas autorisée)
J’aime cette idée de passer d’un sens matériel de l’existence à ce qui est vraiment réel et vrai – à la force et à la permanence de l’Esprit.
« Contemplant les tâches infinies de la vérité, nous nous arrêtons un instant – nous nous attendons à Dieu. Puis nous allons de l’avant jusqu’à ce que la pensée détachée de toute entrave marche ravie, et que la conception libérée prenne son essor vers la gloire divine. » (cit. S20, 323:9)
Ce passage illustre un timing divin, un ordre divin, régissant nos démonstrations et nos journées. Cela nous maintient éveillés et alertes pour faire la bonne chose au bon moment. Cela contrecarre également la volonté humaine avec la volonté divine.
Récemment, j’ai pris conscience un peu plus de la volonté divine. La volonté divine déploie le bien, nous révèle le bien. Elle contrecarre la volonté humaine qui est « aveugle, opiniâtre et impétueuse – coopér[ant] avec les appétits et les passions » ( Science et Santé , p. 490). La volonté divine permet aux fleurs de bourgeonner et de s’épanouir selon la loi divine. C’est l’aspect « laisser » de nos prières et de nos activités plutôt que de forcer. Cela nous permet de ressentir la lumière, la satisfaction et la bonté circulant à travers nous depuis une Source divine – nous permettant de ressentir notre unité avec Dieu. Cela permet à Dieu de prendre les rênes et garantit que nous suivons, écoutons et obéissons. Cela nous permet de nous conformer à la volonté de Dieu.
« Ce n’est pas ce que vous faites. C’est ce que vous ne faites pas – et ce que Dieu fait – qui vous aide », a déclaré Mary Baker Eddy (réminiscences de John C. Lathrop ; Nous avons connu Mary Baker Eddy, édition augmentée, tome 2, p. 270-271, traduction française pas autorisée).
« Tout ce que j’ai jamais accompli l’a été en écartant Mary du chemin et en laissant Dieu être reflété. » ( Ibid , p. 270-271, traduction française AUTORISÉE ! – J’ai trouvé cette phrase dans un article de l’Héraut de la Science Chrétienne, donc cette traduction est autorisée mais pas la traduction précédente.)
Section 7 – « …le progrès est la loi de Dieu, loi qui exige de nous seulement ce que nous pouvons certainement accomplir.» ( S&S 233:6)
Le progrès est une loi de Dieu, donc peu importe la démonstration que nous espérons ou les nouvelles compétences que nous essayons d’acquérir, nous pouvons connaître et aimer le fait que « le progrès est la loi de Dieu… » – une loi à laquelle nous répondons. Et Dieu n’exige de nous que ce que nous pouvons certainement accomplir. La volonté de Dieu est la fécondité, le succès et l’accomplissement, et savoir cela peut renforcer notre confiance dans notre capacité à faire les démonstrations pour lesquelles Dieu nous équipe.
« La vie est dans le sentier de la justice, la mort, [l’inaction, l’arrêt de l’action harmonieuse ne sont] pas dans le chemin qu’elle trace. » (cit. B24, Proverbes 12:28)
Nous pouvons vivre une vie qui « s’approche du souverain bien… » (cit. S23, 496 : 9-13). Ce passage nous montre qu’en nous efforçant chaque jour de nous rapprocher de Dieu – pensée par pensée et action par action – nous ressentirons la proximité ultime de l’unité avec Dieu – du royaume de Dieu en nous. Mary Baker Eddy dit de ne pas le tarder à faire de Dieu notre PREMIÈRE connaissance ( Misc. Writings , p. 151). Et la Bible nous assure que connaître Dieu nous apporte la paix (Job 22 :21).
La voie deviendra plus lumineuse, plus fraîche et plus libre à mesure que nous abandonnons les vieilles croyances matérielles usées et que nous revêtons notre véritable identité spirituelle – immortelle, pure et parfaite. C’est toujours la base de notre démonstration.
À mesure que nous nous efforçons de surmonter l’erreur chaque jour, nous deviendrons de plus en plus forts jusqu’à ce que finalement ces croyances n’aient plus de pouvoir sur nous et que nous les dominions. C’est quelque chose que Dieu nous permet de faire parce que la loi de Dieu nous apporte la liberté (et non la peur).
« …Le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l’éclat va croissant jusqu’au milieu du jour.» (cit. B25, Proverbes 4:18)
Profitez de vivre dans ce Royaume aujourd’hui !
