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Idées métaphysiques pour la leçon Substance du 5 au 11 mars 2012, par Christie Hanzlik ccern@mac.com, traduction libre par Denise et Jean-Pierre Melchner et autorisée par Warren Huff, Directeur des camps CedarS

Tirée du site www.cedarscamps.org

Note du rédacteur : Les renseignements et les idées suivantes s'appliquent à la Leçon Biblique de la Science Chrétienne pour cette semaine, et sont offertes principalement pour aider les campeurs et le personnel (aussi bien que les amis) de CedarS Camps, de voir et de démontrer l'importance de l'étude quotidienne des Leçons Bibliques de la Science Chrétienne toute l'année, et pas seulement pendant la durée du camp. Vous pouvez vous inscrire pour les recevoir gratuitement – en anglais chaque lundi, et vous pouvez en recevoir une traduction gratuite, chaque mercredi, en français grâce à Pascal, Denise ou Marie-Hélène, en espagnol grâce à Ana, Erick, Claudia and Patricio et en allemand grâce à Helga. Vous pouvez vous y inscrire à l’adresse http://www.cedarscamps.org/metaphysical Nous recherchons d’autres traducteurs qui seraient prêts à participer à ces traductions hebdomadaires. Vous pouvez envoyer un email à Warren pour proposer vos services à l’adresse director@cedarscamps.org]

 Dans la leçon de cette semaine nous allons voir quelques uns des divers aspects par lesquels Dieu, la véritable substance de l’univers, s’exprime. Une meilleure compréhension de la substance apporte la guérison dans toutes les facettes de notre vie. Chaque section nous mène à penser plus en profondeur à ce qui est vraiment substantiel, et de regarder au- delà des apparences. 

Le texte d’Or «..l’Eternel t’a fait du bien.. » (en anglais : l’Eternel t’a traité avec générosité, abondamment) nous rappelle que l’Amour ne donne pas juste un peu de ce dont nous avons besoin.  Chaque ligne de la lecture alternée est en accord avec cette phrase, nous rappelant que : « nous nous rassasierons du bonheur de ta maison », que « le ruisseau de Dieu est plein d’eau » et que « les pâturages se couvrent de brebis » Ensemble, le texte d’Or et la lecture alternée créent une image claire des cadeaux et de l’abondance donnés par le Seigneur à chacun.

Les idées exprimées ici sont d’un grand réconfort. Développons-les un peu plus en reconnaissant qu’une compréhension de la substance spirituelle, même dans une faible mesure, apporte à la guérison. Pour illustrer cette idée, j’ai inclus une guérison tirée de Mary Baker Eddy, Une vie consacrée à la guérison chrétienne de Y. Cuché von Fettweis et R. Townsend Warneck, pour chaque section de cette leçon, comme exemples de la manière dont Madame Eddy démontrait la substance spirituelle dans son travail de guérison. En lisant ces exemples rappelons-nous que Madame Eddy a dédié sa vie à nous montrer que la capacité de guérir et de bénir l’humanité n’appartenait pas qu’à elle, mais que c’est un généreux cadeau divin hors du temps qui est donné à chacun de nous. En d’autres mots, en lisant ces guérisons et la grande capacité de Madame Eddy à guérir, nous pouvons déclarer : « cela m’appartient aussi. »

Pour ceux d’entre vous qui désirent mieux connaître la législation américaine concernant les droits de se baser sur la prière comme traitement pour la guérison, voyez : www.christianscience.com/federal

Section 1 : Toute substance est spirituelle.

Cette section donne la définition de « substance » et elle pose les fondements pour toute la leçon. De la Bible nous apprenons que : « …tout ce que Dieu fait durera toujours, qu’il n’y a rien à y ajouter et rien à en retrancher. » (B2) Il nous est aussi rappelé que Dieu ne pourvoit pas qu’à certains de nos besoins, mais qu’Il « m’a comblé de bienfaits » (B4) tiré de Louanges pour notre temps d’A. Kuen (ce qui est plus proche de la traduction anglaise de ce passage.) 

Nous apprenons aussi que « La substance est ce qui est éternel et incapable de discordance et de décomposition » (S1) et que « les pensées de Dieu…sont substance… » (S4) D’un autre point de vue dans (S5) « la substance d’une pensée… c’est Dieu ». Des idées si pleines de puissance ! 

Un exemple de guérison qui peut nous faire penser à la « substance d’une idée » se trouvant un Dieu est une note de Madame Eddy à Irving Tomlinson :    

« Nous devrions avoir le même contrôle sur les phénomènes climatiques que sur notre corps. Je me rappelle qu’un jour où je prêchais, le ciel s’obscurcit totalement et la foudre fut si violente que la soliste tomba évanouie. Je déclarai : « Que vienne la paix » et le soleil apparut presque instantanément ». (page 296)

Il y a au moins sept exemples d’orages se dissipant dans Une vie consacrée à la guérison chrétienne. En voici un autre :

 « Alors qu’elle nous transmettait des directives sur le travail à faire, survint un orage très violent. Madame Eddy s’avança à la fenêtre. Cela m’a stupéfié, car j’ai senti la présence divine alors qu’elle parlait avec Dieu. L’orage cessa immédiatement et un arc-en-ciel double apparut au-dessus de la maison de Pleasant View ». (page 200)

En croissant dans notre compréhension que «  les idées de Dieu … sont substance » et en sachant que Dieu est seulement le bien, nous pourrons apercevoir des images de plus en plus précises de la totalité et de la bonté divines réfléchies dans un temps (météorologique) calme, des relations harmonieuses, des vies saines, parmi d’autres réalités.

Rappelez-vous que la vérité divine sur la substance est universelle et « Cela m’appartient aussi. » ! 

Section 2 : Notre approvisionnement vient d’une source divine où plus nous donnons, plus nous recevons. 

Cette section débute par l’histoire d’une femme récemment devenue veuve qui n’avait plus rien et pensait être réduite à vendre ses fils en esclavage, selon la coutume de son temps. Mais avant de s’y résoudre, le prophète Elisée lui donne d’autres directives, de puiser dans sa réserve d’huile (consécration ; charité ; douceur ; prière ; inspiration céleste) (S6) et de remplir des vases avec cette huile. Elle l’a fait et avec ces richesses elle avait assez de ressources pour ne plus être obligée de vendre ses fils, recevant ainsi une abondante bénédiction.

Elisée et cette veuve ont démontré que les ressources de l’Amour divin pour Ses chers enfants sont toujours généreusement à disposition et ils se sont appuyés avec obéissance sur la loi de l’abondance divine pour dépasser les lois humaines de leur temps. Deux mille ans plus tard, cette vérité est toujours valable. Comme nous l’explique Madame Eddy, « La Science et la conscience sont toutes deux dès maintenant à l’œuvre dans l’économie de l’être, conformément à la loi de l’Entendement qui fera finalement prévaloir sa suprématie absolue. » (S9)    C’est si réconfortant de savoir que la loi divine est toujours plus puissante que toute loi qui a une base matérielle.

Une guérison dont Madame Eddy a été témoin illustre cette loi divine d’abondance qui renverse les soi-disant lois de maladie, maltraitance et pauvreté.

Madame Lottie Clark rapporte cette guérison : 

 « …Je me trouvais dans une voiture, en compagnie de six autres personnes en route pour Hyde Park, à Boston, afin d’assister à une conférence (de la Science Chrétienne). Peu après le départ, la dame qui était assise sur le siège avant s’est retournée pour nous dire qu’elle souhaitait nous parler d’une femme demeurant à Concord, dans le New Hampshire. La personne en question avait un côté paralysé, elle n’avait pas un sou et elle était si malheureuse dans son foyer qu’elle ne supportait plus d’y vivre. Aussi décida-t-elle de le quitter pour ne plus jamais y revenir. En sortant dans la rue, elle aperçu une multitude de personnes. Mue par curiosité, elle les suivit. …. Elle regarda s’approcher (un attelage de deux chevaux). A ce moment-là, Madame Eddy se pencha en avant et la regarda. Aucune parole ne fut prononcée, mais la dame fut guérie sur le champ. Elle rentra chez elle et s’aperçut que l’harmonie était revenue dans son foyer. L’histoire ne s’arrête pas là. Nous demeurions silencieux, sous le charme du récit, médusés par les guérisons merveilleuses accomplies par Madame Eddy.  Puis au bout d’un moment, une dame qui était assise à mes côtés a rompu le silence pour dire d’une voix tranquille : « cette femme, c’était moi. Et je continue d’être heureuse, depuis, dans mon foyer. » Puis elle a ajouté : « Je n’avais jamais vu auparavant et n’ai jamais vu depuis, sur aucun visage, l’amour et la compassion exprimés par Madame Eddy lorsqu’elle s’est penchée en avant pour me regarder. » (page 224)

L’amour que Madame Eddy porta à cette femme l’a guérie de sa paralysie, de la pauvreté et d’un foyer malheureux. Madame Eddy a démontré cette même vérité intemporelle sur la substance qui permit à Elisée d’aider cette veuve à trouver sa véritable source abondante d’approvisionnement. L’ « amour et la compassion » sur le visage de Madame Eddy n’ont rien à voir avec du maquillage ou autres crèmes. C’était sa pure compréhension de l’Amour comme étant la seule substance de l’univers, exprimée et reflétée clairement au moment où elle regarda cette femme dans le besoin, qui aida au déroulement harmonieux, là où les soi-disant sens ne pouvaient le voir.

Et cette vérité métaphysique qui sous-tend ces guérisons reste valable aujourd’hui. Selon les paroles de Madame Eddy : « De l’Amour, de la lumière et de l’harmonie qui sont la demeure de l’Esprit, il ne peut venir que des reflets du bien. Toutes les choses belles et inoffensives sont des idées de l’Entendement. L’Entendement les crée et les multiplie, et le produit est nécessairement mental. » (S7)

Souvenez-vous, la loi divine de substance est sans âge : Cela m’appartient aussi. !  

Section 3 : Notre véritable structure est constituée par la substance spirituelle, non par des os, du sang ou un cerveau.

Cette troisième section explique que la substance de l’homme n’a rien à voir avec le cerveau, le sang ou les os. Madame Eddy dit : « La seule substance des os, c’est la pensée qui les forme. » (S13) Cette section comprend la guérison de Monsieur Clark à Lynn d’une coxalgie à la hanche. (au sens mortel, avec des os en décomposition) Cette guérison, qui restaura l’os de la hanche et les muscles à leur véritable densité et force en quelques instants, démontre bien l’idée à nouveau développée dans cette section, que «  le Seigneur t’a fait du bien (avec abondance, de la traduction anglaise) (B11) La loi divine de la substance comme étant éternelle  a non seulement permis à cet homme de rester en vie, mais a complètement restauré son corps.

Dans Une vie consacrée à la guérison chrétienne nous en apprenons d’avantage par la belle fille de Monsieur Clark, Grace M. Clark. Elle explique que Monsieur Clark était resté couché huit mois avant la visite de Madame Eddy, et qu’après sa visite, il se leva le lendemain avec la plaie guérie et se sentant en pleine forme. Grace Clark conclut : « Je ne l’ai jamais connu alité avec d’autres maladies après cela, et il a vécu plus de quatre-vingt ans. » (p 299 en anglais de la deuxième édition). Nous devons aussi être conscients que le médecin qui le suivait a déclaré que c’était suite à ses traitements qu’il fut guéri, même qu’il avait abandonné le cas,  ce qui montre comment l’entendement mortel cherche des excuses pour lui-même lorsque les lois matérielles sont contrecarrées par la loi divine. Lorsque nous obtenons une guérison, soyons vigilants de ne pas tomber dans la prétention que « c’est une coïncidence » ou que « un traitement médical aurait pu en faire autant. »                          

Voici une autre guérison tirée de Une vie consacrée à la guérison chrétienne du triomphe de la loi divine de la santé sur les revendications matérielles concernant la substance des os :

« Il y a dix-huit ans, alors que j’habitais à Boston, je suis tombé du troisième étage d’un immeuble sur lequel je travaillais, et j’ai atterri sur le trottoir. J’ai eu la jambe fracturée en trois endroits. On m’a transporté à l’hôpital. Les médecins m’ont informé que j’avais la jambe en si mauvais état qu’il me fallait l’amputer. « Plutôt mourir ! » ai-je répondu. Ils ont alors fait de leur mieux pour me soigner et, par la suite, j’ai dû porter une chaussure en fer haute de plus de vingt centimètres. J’ai été appelé un jour au domicile de Mme. Eddy sur Commonwealth Avenue, à Boston, pour y effectuer des travaux d’électricité. Mme Eddy est entrée dans la pièce où je travaillais, et remarquant mon état, elle m’a dit avec bienveillance : « Je suppose que vous espérez être débarrassé de ça un jour ou l’autre. » « Non, ai-je répondu. Tout a déjà été tenté, et j’arrive maintenant à me déplacer avec une canne. » Ce à quoi Mme Eddy a répliqué : « Assez-vous, je vais vous donner un traitement. » A la fin du traitement, elle a déclaré : « Rentrez chez vous et ôtez cette chaussure en fer afin que votre jambe ait la possibilité de retrouver son état normal. » Je suis rentré chez moi et j’ai fait ce qu’elle m’avait demandé. Aujourd’hui, je vais très bien et, autant que je sache, il n’y a aucune différence entre mes deux jambes. (page 164). »

Ceci est un merveilleux exemple de la bonté de Dieu. Non seulement la jambe a été guérie, mais elle a cru de bien des centimètres pour avoir la même longueur que l’autre. Selon les lois médicales, ceci est impossible. Mais selon les lois divines de la substance spirituelle, une jambe qui se rallonge est un déroulement normal et harmonieux.

Et voici une guérison dans laquelle les soi-disant lois du cancer ont été surmontées par la loi divine de la substance (extrait d’une lettre de Mme Eddy à Irving Tomlinson) :

« Un jour, un homme vint à moi affligé d’un cancer qui lui avait rongé le cou et dont la veine jugulaire était devenue visible. Je me détournai du témoignage des sens, fermai les yeux et j’élevai mes pensées vers Dieu dans la prière. Lorsque j’ouvris les yeux, l’homme était parfaitement rétabli, son cou était naturel et normal. Voilà ce qu’est une guérison par la Science Chrétienne. (page 279) »

Ces trois guérisons montrent l’abondance des bénédictions avec lesquelles le Seigneur nous entoure. Bien qu’un des cas puisse être libellé comme « coïncidence », le fait que des douzaines et des douzaines de cas semblables offrent une preuve indéniable que la matière n’est pas la véritable substance de l’univers. Ces guérisons démontrent qu’il y a une loi divine de la substance qui, lorsqu’on y fait recours correctement, amène la guérison à chaque fois. Mme Eddy déclare clairement : « La Science Chrétienne apporte au corps la lumière de la Vérité qui fortifie et purifie. La Science Chrétienne agit comme altérant, neutralisant l’erreur par la Vérité. Elle change les sécrétions, chasse les humeurs, dissout les tumeurs, détend les muscles raidis et remet en bon état les os cariés. L’effet de cette Science est de secouer l’entendement humain afin de produire un changement de base pour que sur cette nouvelle base il puisse céder à l’harmonie de l’Entendement divin. » (S16)   

La vérité que nous donne Mme Eddy dans Science et Santé est suffisante pour nous montrer comment guérir avec la même efficacité qu’elle. Nous aussi pouvons démontrer la suprématie et la totalité de la substance spirituelle.

Rappelez-vous que la loi divine de la substance est nôtre pour être mise en pratique : cela m’appartient aussi !

Section 4 : Notre force et notre pouvoir découlent directement d’une source spirituelle et ne peuvent donc pas dégénérer ni s’épuiser.

Dans cette section nous apprenons que «  L’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges, c’est lui qui m’a sauvé. » (B12) Lorsque nous comprenons que Dieu est la source de notre force, nous n’avons pas besoin de nous appuyer sur des exercices, des médicaments ou des stratégies anti-âge pour vivre plus longtemps, avec plus de force et de santé. Au lieu de cela «  La compréhension que la Vie est Dieu, Esprit, prolonge nos jours en fortifiant notre confiance dans l’impérissable réalité de la Vie, dans sa toute-puissance et son immortalité. » (S17) Quel soulagement de savoir que la source de notre force ne vient pas de notre soi-disant corps matériel.

Un exemple de cette vérité, comme rapporté dans Une vie consacrée à la guérison chrétienne, montre qu’une période de rétablissement n’est pas nécessaire lorsque la guérison et la force proviennent de la loi divine de substance. En 1907 Mme Eddy rapporta à des scientistes chrétiens travaillant dans sa maison une guérison qui se déroula tôt dans son travail, même avant d’avoir changé son nom en Mary Baker Eddy. Elle expliqua :

 «  .. je marchais dans la rue.. et j’ai vu cet impotent dont un genou arrivait à la hauteur de son menton.. l’autre membre était complètement tiré vers l’arrière, dans son dos. Je suis arrivée à sa hauteur et j’ai lu sur un bout de papier épinglé à son épaule : Aidez ce pauvre invalide. Je n’avais pas un sou à lui donner, alors, je me suis penchée et j’ai murmuré dans son oreille : Dieu t’aime. Il se leva d’un bond, parfaitement droit et bien. Il courra dans la maison (de Lucy Allen) et lui demanda, en pointant le doigt vers moi, qui est cette femme ? La dame lui répondit : c’est Mme Glover. (Il répondit) non, c’est un ange. »

Cette guérison exprime vraiment l’abondance des bénédictions divines. Non seulement les jambes de ce soi-disant invalide furent redressées, mais il fut capable de se lever et d’exprimer sa gratitude. Le point de vue médical déclarerait qu’après avoir eu les jambes inutilisées si longtemps et dans une position si déformée, cela lui prendrait de long mois de thérapie douloureuse pour les restaurer. Ce ne fut pas le cas car «  L’Esprit est la vie, le substance et la continuité de toutes choses. » (S18)  

Nous pouvons mettre en pratique cette même loi de régénération instantanée dans notre vie. Lorsque nous sommes tentés de croire que nous avons besoin d’une période de récupération après les sports, un examen difficile en maths, ou une longue journée au travail, nous pouvons nous tourner vers cette même loi de véritable substance qui restaura cet invalide si complètement qu’il a même pu « courir ». Mme Eddy nous dit : « Nous ne dirons pas que le corps est faible si nous voulons qu’il soit fort ; car avant de pouvoir être manifesté sur le corps, il faut que la croyance à la faiblesse prédomine dans l’entendement humain, et la destruction de cette croyance en fera disparaître les effets. » (S20)

Soyons reconnaissants que Mme Eddy ait partagé ces idées avec nous pour que nous aussi puissions les utiliser. Cette grande vérité qui nous offre la santé et la longévité n’est pas secrète, Nous pouvons tous l’utiliser et la partager, sans que jamais elle ne s’use. Rappelez-vous, la divine loi de substance déborde toujours, et qu’en apprenant les guérisons d’autrui, nous pouvons déclarer : cela m’appartient aussi.

Section 5 : Notre vue et notre ouïe, étant spirituelles, sont éternelles et ne peuvent se perdre.

Peut-être avez-vous remarqué que la plupart des guérisons relatées dans « les fruits de la Science Chrétienne » comprennent une restauration de la vue. Cette section nous montre comment de telles guérisons sont possibles. Nous lisons : « L’homme dont le regard est bienveillant sera béni », et « Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi. » (B17, 18)

Dans Science et Santé nous lisons la description exacte de la manière d’acquérir la compréhension de la substance spirituelle qui amène la guérison. Mme. Eddy écrit : « La substance, la Vie, l’intelligence, la Vérité et l’Amour qui constituent la Divinité, sont réfléchis par Sa création ; et lorsque nous subordonnerons le faux témoignage des sens corporels aux faits de la Science, nous verrons partout cette vraie ressemblance et ce vrai reflet. (S25)

L’exemple suivant tiré de Une vie consacrée à la guérison chrétienne, illustre clairement l’importance de comprendre la substance, lorsqu’il s’agit de guérir l’idée que la vue ou l’ouïe viennent des yeux et des oreilles. Une scientiste chrétienne Emily B. Hulin raconte une leçon qu’elle a apprise d’un cours qu’elle a suivi avec Mme. Eddy :

« Mme. Eddy montrait à la classe la définition de Dieu… et montrait que « l’entendement » est celui qui voit tout.

Elle dit qu’en comprenant ceci, elle avait guéri un homme de la cécité, dont les globes oculaires avaient été détruits et qui ont été restaurés. Quelqu’un de la classe a posé cette question : Si c’est l’Entendement qui voit tout, pourquoi est-ce nécessaire de restaurer les globes oculaires ?

Mme. Eddy répliqua : Je m’attendais à cette question. L’effet de la Science Chrétienne réside en ceci. La Science restaure la norme de perfection que l’entendement mortel réclame. Si les globes oculaires n’avaient pas été restaurés, personne ne l’aurait cru s’il déclarait pouvoir voir. (p 459 anglais) »

C’est si important de comprendre que ces lois de la substance n’étaient pas limitées à Mme. Eddy ni à ceux qui ont étudié avec elle. Notre leader a travaillé inlassablement pour partager avec nous comment nous pouvons à notre tour découvrir ces vérités. Elle rend ces idées claires dans des affirmations comme celle-ci qui se trouve dans la leçon : «  La vue, l’ouïe, tous les sens spirituels de l’homme, sont éternels. On ne peut les perdre. Leur réalité et leur immortalité sont dans l’Esprit et dans la compréhension, non dans la matière- d‘où leur permanence. » (S24)

Rappelez-vous que ces idées de guérison sont universellement accessibles et ne s’usent jamais. Nous aussi avons les outils nécessaires pour être des guérisseurs efficaces. La vérité de notre substance spirituelle est nôtre pour mettre en pratique : cela m’appartient aussi !

Section 6 : Nos vivres proviennent directement d’une source spirituelle qui coule librement

Cette dernière section met si clairement en lumière le fait que la substance est si abondante que le plus nous la partageons avec autrui, plus elle nous revient pour nous bénir. La Bible relate que Jésus a loué une femme qui donna de son nécessaire pour l’église, et il nous enjoint à « guérir les malades, ressusciter les morts, purifier les lépreux, chasser les démons, car nous avons reçu gratuitement et nous devons donner gratuitement. » (B22 et 23) Nous lisons aussi dans II Cor. que «Dieu aime celui qui donne avec joie. … vous serez de la sorte enrichis à tous égards pour toute espèce de libéralités qui, par notre moyen, feront offrir à Dieu des actions de grâces. » (B24) Donner sans penser à soi est une manière parfaite pour démontrer l’abondance illimitée de l’Amour et pour montrer notre gratitude à Dieu.  

La loi divine de la substance affirme que nous ne pouvons nous appauvrir en donnant généreusement les cadeaux de la substance spirituelle. Mme. Eddy dit clairement «  Donner ne nous appauvrit pas au service de notre Créateur et ne pas donner ne nous enrichit pas. » (S27)

Une guérison relatée dans Une vie consacrée à la guérison chrétienne illustre cette idée de substance divine qui pourvoit aux besoins universels :

En décembre de 1894, «  il  n’avait pas plu dans la région durant tout le mois de novembre. Le fermier qui livrait le lait à Pleasant View avait raconté à la cuisinière que son puits était vide et que ses vaches commençaient à souffrir de la sécheresse. Mise au courant, Mary Baker Eddy s’exclama en souriant : « Ah ! Si seulement il savait que l’Amour remplit ce puits ! » Lorsque le fermier revint le lendemain, il fut tout heureux de dire à la cuisinière que, le matin même, il avait trouvé son puits empli d’eau. Mais ce qui le stupéfiait, c’est qu’il n’avait pas plu. (page 182) »

La guérison de ce puits montre qu’il n’était pas nécessaire d’avoir de la pluie ni de prendre l’eau à un autre pour remplir le puits. La simple phrase prononcée par Mme Eddy «  L’Amour remplit ce puits » déclarait la vérité que l’Amour/Dieu est la vraie substance et qu’Il est toujours à la bonne place.

Cette guérison du puits à sec n’aida pas seulement le fermier. Cette démonstration de l’abondance divine survint au moment où les personnes responsables de la construction de L’Eglise Mère à Boston se débattaient pour trouver l’argent nécessaire pour compléter le projet à temps. Lorsque Mme. Eddy raconta au Conseil cette guérison, « les difficultés qu’ils avaient rencontrées dans la construction de l’église furent surmontées. L’Amour avait comblé le vide. » (page 182) Cette même loi qui remplit le puits permit à l’argent et aux ressources d’affluer à temps pour la construction de la nouvelle église. Et cette même loi est toujours en action, vous promettant ainsi qu’à moi-même des bénédictions en abondance.

Ce qu’il y a de merveilleux dans les guérisons de Mme Eddy est que les vérités qui les rendirent possible ne lui appartenaient pas. Elle consacra des dizaines d’années à écrire Science et Santé pour que nous (et les générations futures) puissions guérir de manière efficace en utilisant les mêmes vérités sur la substance basées sur l’Amour. L’idée : cela m’appartient aussi, qui se trouve partout dans cette leçon est là pour nous rappeler que les guérisons obtenues par Jésus, Mme Eddy et les autres personnes, ne leur appartiennent pas en propre. La vérité qui apporte l’harmonie dans les finances et dans le corps est une loi universelle de la substance spirituelle à laquelle nous pouvons accéder en tout temps.  

La dernière citation de la leçon nous rappelle que nous pouvons découvrir cette même abondance de la guérison dans nos vies aujourd’hui. « Les chrétiens se réjouissent d’une beauté et d’une abondance invisibles, cachées au monde, mais connues de Dieu. L’oubli de soi, la pureté et l’affection sont des prières constantes. La pratique, non les professions de foi, la compréhension, non la croyance, gagnent l’oreille et la droite de l’omnipotence, et nous attirent assurément des bienfaits infinis. » (S30)

Si vous souhaitez lire en anglais des guérisons actuelles qui viennent d’une plus grande compréhension de la substance, voyez :

http://www.spirituality.com/article.jhtml?ElementId=/repositories/shcomarticle/Dec2010/1292507113.xml&ElementName=Renewal%20and%20life's%20real%20substance

http://www.spirituality.com/article.jhtml?ElementId=/repositories/shcomarticle/Feb2011/1296746260.xml&ElementName=Renewal%20and%20Substance

http://www.spirituality.com/article.jhtml?ElementId=/repositories/shcomarticle/May2011/1305206603.xml&ElementName=Speedy%20recovery%14a%20motorcyclist%19s%20story

http://www.spirituality.com/article.jhtml?ElementId=/repositories/shcomarticle/Dec2010/1292000331.xml&ElementName=Alzheimer's%20disease%20reversed%20

Cette leçon métaphysique hebdomadaire est offerte sans frais au personnel et aux 1200 campeurs bénis chaque été au Camp CEDARS, ainsi qu'aux anciens élèves, leurs familles et les amis qui en font la demande. Cependant, les dons présents et futurs sont toujours nécessaires pour aider à couvrir les coûts de fonctionnement de ce service et pour réaliser les camps. Allez à l’adresse suivante pour soutenir en-ligne le travail de CedarS http://www.cedarscamps.org/giving/default.htm?id=1

Votre contribution, toujours bienvenue et déductible d'impôts, est particulièrement nécessaire pour le camp de cette année ainsi que pour le Fond de soutien “Adoptez le troupeau”. Il vous est toujours possible de faire un don en appelant le (636) 394-6162 ou d'envoyer un chèque par courrier à:

CEDARS Camps, 1314 Parkview Valley, Manchester, MO 63011  

 

Note du Directeur du Camp: Ce partage est le plus récent de la série hebdomadaire émise sans interruption depuis 8 ans. La série des “mets” (idées d'application métaphysique) de la leçon biblique existe grâce à la contribution des Praticiens résident de CedarS et occasionnellement d'autres métaphysiciens. (Pour maintenir le flux des idées du praticien intact et pour permettre de les imprimer séparément “les sujets à envisager pour l'école du dimanche” viennent sur une page séparée ou par e-mail en suivant.) L'offre de cette semaine est destinée à encourager la poursuite de l'étude et l'application des idées de la leçon et pour l'école du dimanche à dynamiser la participation des étudiants et des enseignants en herbe de notre personnel. A l'origine envoyé SEULEMENT à mes élèves de l'école du dimanche et aux campeurs, aux membres du personnel et aux familles de CedarS qui voulaient poursuivre à la maison et dans leurs écoles du dimanche à domicile le même type d'étude centrée sur la leçon, d'application et d'inspiration qu'ils ont apprécié au camp, les “mets” ne sont en aucun cas destinés à être définitifs ou concluants ni en aucune façon à se substituer à l'étude quotidienne de la leçon. Les pensées présentées sont l'inspiration d'un moment et sont offertes pour donner un peu plus de dimension, de recul et d'angles nouveaux sur l'application quotidienne sur certaines des idées et des passages étudiés. Les Leçons Bibliques sont protégées par le droit d'auteur auprès de la Christian Science Publishing Society et sont imprimées dans le Christian Science Quarterly disponibles dans les salles de lecture de la Science chrétienne ou en ligne à eBibleLesson.com ou myBibleLesson.com.Les citations référencées (B..) sont tirées de la version King James de la Bible et (S..) du livre d'étude de Science Chrétienne : Science et Santé avec la clef des écritures de Mary Baker Eddy. La Bible et Science et Santé sont les livres ordonnés pasteurs de l'Eglise du Christ, Scientiste. La leçon biblique est le sermon lu lors des services dans chaque église de la Science Chrétienne dans le monde entier. La Leçon-Sermon parle à tous individuellement par le Christ, offrant un aperçu unique et des applications sur mesure pour chacun. Nous sommes heureux que vous ayez demandé ce partage métaphysique et nous espérons que vous trouverez ces idées utiles dans votre cheminement spirituel, en creusant plus profondément dans vos livres et en étroite liaison avec votre consolateur et Pasteur. Régalez-vous!

Warren Huff, Directeur du camp, (636) 394-6162

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