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Convertissez-vous et vivez! Arrêtez de craindre ou d'accueillir la mort en vous tournant vers la Vie et en la choisissant!

Idées d'application métaphysique pour la leçon biblique de la Science Chrétienne sur:

« Période probatoire après la mort »

du 20 au 26 avril 2020

Préparé par Kathy Fitzer, CS

kathyfitzer@gmail.com

Les ondes sont pleines de nouvelles sur la mort ces jours-ci. Ces rapports pourraient engendrer la peur – si nous le permettons! La leçon de cette semaine nous aide à déplacer notre point de vue d'une perspective mortelle à une perspective immortelle. L’enseignement et l’exemple de Jésus montrent comment vaincre la mort en voyant l’unité inséparable de l’homme avec Dieu – la VIE – incapable de mourir. Plusieurs leçons récentes ont mis en évidence le fait que la mort est irréelle (bien qu'elle semble certainement très réelle) – une illusion des sens. Mais la leçon de cette semaine devient très spécifique et nous apprend comment « nous convertir et vivre ». Elle nous montre comment nous pouvons trouver la liberté – et libérer le monde – de la peur de la mort, ainsi que du désir de mourir, en nous voyant (et tous) comme incapables d'être séparés de la Vie inépuisable. Il est également important d'élargir notre sentiment de mort pour y inclure l'arrêt de toute bonne activité. Nous n'en aurons aucune partie, mais voir la Vie s'exprimant activement en tous!

Je voulais partager une autre réflexion que j'ai envisagée sur le sujet de la leçon de cette semaine. C'est juste quelque chose qui m'est venu et je me suis amusé avec. En étudiant le sens du mot « probation », j’ai constaté que la première définition du dictionnaire Webster de 1828 est «l’acte de prouver; preuve. » Il donne ensuite la définition de la preuve (dans un procès) comme « tout effort, processus ou opération qui établit la vérité ou les faits ». Deux autres définitions de la preuve ont également été utiles, à partir de dictionary.com (1) en tant que verbe, «pour tester, examiner les défauts, les erreurs, etc. » – comme lorsque nous relisons quelque chose pour faire des corrections; (2) en cuisine, « pour faire lever (en particulier la pâte à pain) en raison de l'ajout de levure de boulangerie ou d'un autre levain ».

Alors ce qui m'est venu à l'esprit est que lorsque nous recevons un rapport de décès (ou d'arrêt de tout type de bien), nous devons examiner le rapport pour voir comment il s'aligne avec le rapport de DIEU sur le bien ininterrompu, la vie éternelle, la paix non perturbée, afin de vérifier les faits. Puis nous devons ajouter le levain de Vérité pour élever la conscience afin de voir à travers l'imposition de la mort (comme Jésus l'a fait) et démontrer le sens de la grâce non perturbé qui nous est donné chaque jour, rassasiant « les affections affamées ».

Texte d'or: La leçon commence par établir le fait que la mort n'est pas la volonté (ou le désir) de Dieu pour personne. Il y en a qui seraient en désaccord avec cela, mais ici on nous dit qu'Il « ne désire pas la mort de celui qui meurt ». Dieu demande au peuple de « se convertir et de vivre ». Tel qu'utilisé ici, se convertir est traduit de l'hébreu, shuwb. Cela signifie en partie de revenir au point de départ et de réfléchir à nouveau. Alors, cela pourrait-il signifier regarder les choses du point de départ de Dieu ayant tout fait et ayant vu tout ce qu'il a fait d'être très bon? Cela pourrait-il signifier considérer les choses du point de vue de la conception de Dieu comme étant seulement bonne pour Sa création? Cela étant, tout ce qui est réel et durable, c'est le bien.

De même que nous sommes libres de tourner notre regard des ténèbres vers la lumière afin d'expérimenter la lumière, nous sommes libres de passer de la mort à la vie afin d'expérimenter la plénitude et la liberté de vivre! En allant plus loin, nous voyons que le dessein de Dieu n’inclut pas la destruction (ou la fin) de quelque chose de bon… y compris le bonheur, la compagnie, le revenu, les opportunités, et bien plus encore! Dieu prend plaisir à donner la vie à toute sa création!

Lecture alternée : La lecture alternée renforce le fait que la peur est ce qui doit être maîtrisé – et le plus tôt sera le mieux. Job, qui s'était auparavant senti si juste et si sûr des soins de Dieu, se retrouve en train de sombrer dans le désespoir en regardant sa situation d'un point de vue physique. Il semble avoir abandonné et n'a aucune envie de continuer à vivre. (v20) Il a été suggéré que la peur mentionnée au v. 25 était simplement un sentiment d'agitation – le calme et la confiance que Job avait toujours ressentis ayant été brisés. (New Interpreter's Bible) Si on ne fait pas attention, on pourrait ressentir cela aujourd'hui. Nous n'avons jamais été confrontés à ce qui se passe de nos jours. La question demeure cependant… comment allons-nous répondre aux défis et à « l'incertitude »? Job finit par changer d'avis et rétablit sa relation intime avec Dieu – et retrouve sa liberté.

Ces versets fournissent des directives sur la façon de rester au top – ou de revenir au top, si nous avons glissé. L’ami de Job, Eliphaz, dit à Job qu’il doit se « s'attacher » à Dieu pour avoir la paix et trouver le bonheur. S'attacher vient du mot hébreu, cakan et signifie être familier, connaître intimement, et aussi être utilisé par ou être utile à. En mesure que cette relation intime avec Dieu est entretenue, une confiance est établie similaire à celle qui permet aux individus de se regarder directement dans les yeux. Eliphaz assure à Job qu'en priant Dieu, Dieu répondra et Job ressentira la présence et le soin de Dieu. Et, après avoir réussi à sortir de cette épreuve, Job sera en mesure d'aider les autres – comme il l'a fait plus tard pour aider ses amis, y compris Eliphaz.

Pour moi, l'une des leçons à tirer ici est d'être attentif à toute complaisance dans la pensée. Tout bien vient de Dieu et est toujours disponible. Il n'y a donc rien à craindre! Mais il est important de reconnaître constamment Dieu comme la source constante de bien qui ne peut pas être perdu. La totalité de l'Amour efface la peur – et l'Amour répond aux besoins individuels, venant à nous où nous sommes et nous élevant de sorte que non seulement nous en bénéficions, mais que notre pensée élevée réconforte et aide aussi les autres. La pensée passe du désespoir du témoignage des sens physiques à la joie et à la gratitude pour ce que l'Amour révèle. L'abandon est une forme de mort, et nous n'en aurons aucune part!

Section 1: Vivre une vie alignée sur la Vie nous permet d'abandonner une croyance en la mort.

En considérant la première citation (Prov. 12: 28), j'ai trouvé utile de penser à cela comme disant: « Quand une bonne relation avec Dieu a été établie, la mort perd la capacité d'impressionner. » The Voice traduit le verset de cette façon: « La vie jaillit le long du chemin de l'intégrité, et la mort n'a pas sa place le long de son cours. » [Traduction non-autorisée de "Life springs up along the path of integrity, and death has no place along its course."] (B1) L'intégrité comprend les idées d'intégralité et « l'état entier et intact de tout, en particulier de l'esprit ». Donc, quand la pensée est complètement alignée avec le fait que nous, en tant qu'expression de la Vie, ne pouvons pas être séparés de Dieu, comme un rayon de lumière ne peut pas être séparé du soleil, il n'y a pas de place pour le concept de mort de s'enraciner. Cela ne signifie pas que nous ne serons pas confrontés à des indices de décès. Mais cela nous aide à traverser ce sens mortel des choses et à voir notre éternelle unité avec Dieu et celle des autres aussi. (B7) Ce que nous appelons la mort peut sembler très définitif. Pourtant, il existe de nombreux rapports de personnes qui peuvent témoigner du fait qu'ils étaient conscients de la poursuite de leur vie, même après que le corps semble être mort. C'est la preuve (même si ce n'est que d'un point de vue temporel limité) de la vérité de la déclaration de Mary Baker Eddy, « À supposer que vous ou moi paraissions mourir, nous ne serions pas morts. » (S1) Plus tard dans la leçon, nous verrons comment Jésus a démontré ce fait.

Le reste de cette section nous dit que nous devons abandonner (1) « toute croyance à la vie où la Vie n'est pas » et (2) « notre croyance à la mort » afin de ne nous laisser pas abuser par l'illusion de la mort et «avancer plus rapidement vers Dieu, la Vie et l'Amour. » (S3 & 5) Étape par étape, nous devons surveiller la pensée pour déterminer si elle est alignée avec ce que la Vie, l'Esprit, Dieu, le Bien exprime. Comme décrit dans le Glossaire de Science et Santé, la mort n’est pas une chose plutôt une façon de penser… « ce qui ne se libère à grand-peine d’une croyance que pour être enchaîné par une autre ». (S3) Donc, il me semble que si nous voulons « émerger doucement de la matière et pénétrez dans l'Esprit », nous devons affronter chaque pensée limitée (chaque pensée qui communiquerait le mal – que ce soit la maladie, l'accident, la haine, l'envie, le chagrin, etc.) qui vient à notre rencontre et le remplacer par le contre-fait illimité (santé, harmonie, amour, satisfaction, joie, etc.). A ce niveau humain, nous ne réussirons pas à le faire à 100% – probablement loin de là. Mais, peut-être que si nous réalisons que c'est la façon de vaincre la mort – pour nous-mêmes et pour les autres – nous serons plus diligents dans nos efforts.

Combien il est important de comprendre que nous sommes inséparables de la bonté et de la plénitude de la Vie – et pleinement soutenus par cette relation indissoluble! Cette compréhension « rend l'homme immortel ». (S4) Notre immortalité est intacte maintenant. Il n'y a rien dans ce que nous appelons la mort qui a quelque chose à voir avec ça! Ainsi, la mort n'est pas quelque chose à craindre, à souhaiter ou même à reconnaître comme une possibilité – mais plutôt à surmonter, pensée par pensée.

Section 2: Laissez les mauvaises situations vous tourner vers les bras d'Amour et trouvez la Vie.

Élie avait fait de son mieux pour convaincre le peuple qu'il était préférable d'adorer le seul Dieu d'Israël que d'adorer Baal. Mais cela semblait être une bataille perdue. Et lorsque la reine Jézabel a menacé de le faire tuer – comme elle en avait tué tant avant lui – il était prêt à abandonner, pensant qu'il n'était pas meilleur que ceux qui l'avaient précédé. Il était prêt à se coucher et à mourir. Mais Dieu avait d'autres plans pour lui, lui fournissant de la nourriture dans le désert et l'encourageant à continuer jusqu'à « la montagne de Dieu, à Horeb. ». (B5) L'histoire s'arrête là dans cette leçon, mais vous vous souviendrez qu'une fois Elie arrivé à Horeb, il avait besoin de plus d'encouragement. Il s'est caché dans une grotte jusqu'à ce que Dieu l'appelle avec « un murmure doux et léger » et lui assure qu'il y avait encore des cœurs réceptifs là-bas et qu'Élie avait plus de travail à faire. Heureusement, Elie a répondu, a renoncé à son souhait de mort et a continué à avancer – faisant beaucoup plus de bien.

Dieu aime chacun de ses enfants autant qu'il aimait Élie. Chacun de nous a un objectif – et la capacité de réaliser cet objectif. Cette capacité est donnée par Dieu. Et, tout comme Dieu a fourni de la nourriture et des encouragements à Élie, il montre aussi à chacun de nous « le sentier de la vie », comme le psalmiste le décrit, nous donnant ce dont nous avons besoin et parlant à chacun d'une voix et d'un langage qui peuvent être compris. (B6)

Peu importe à quel point les choses semblent désespérées, il y a des bénédictions à avoir. « L'Amour peut faire de la circonstance même que, dans votre souffrance, vous appelez un châtiment et une affliction, un ange que vous avez reçu pour hôte sans le savoir » (S6) L'Amour envoie constamment Ses anges (messages divins). Leur présence est irrésistible! C'est comme si Dieu nous prend par les épaules et nous tourne vers la lumière – nous montrant qu'il y a des réponses, il y a de l'espoir et une issue! La mort n'est pas le moyen de trouver une vie meilleure, de vivre une vie pleine.

Pour vivre une vie pleine, nous devons embrasser la Vie elle-même – la source de toute vie et de tout bien – dont nous ne pouvons jamais être séparés. (S8) Les défis nous obligent souvent à arrêter d'essayer de comprendre les choses par nous-mêmes et à nous appuyer sur cette Vie plus grande. Pour cette raison, nous n'avons pas besoin d'avoir peur des moments difficiles, mais nous devons rechercher le bien qui est toujours présent. Cela deviendra évident. Imaginez un enfant malheureux donner des coups de pied et des cris – combattre l'étreinte de maman ou de papa – jusqu'à ce qu'il soit épuisé. Ensuite, il (ou elle) s'effond dans ces bras aimants et trouve la paix. Nous pouvons faire de même et tomber dans les bras tendus de notre Père-Mère, l'Amour . (S11) Laissez le sens mortel de l'obscurité de la mort. Marchez dans la lumière de l'Amour, illuminé par les anges omniprésents de Dieu! (S10)

Section 3: Suivez l'exemple de Jésus pour démontrer la continuité spirituelle de la Vie.

Jésus a compris si clairement que la vie est éternelle – sans interruption – qu'il n'a pas été dérangé par le rapport que son cher ami Lazare était mort. Quand il a appris que Lazare était malade, il ne s'est pas précipité vers lui pour qu'il puisse le sauver personnellement. La mort n'était pas une option effrayante dans l'esprit de Jésus. Tout cela faisait simplement partie du faux rapport du sens matériel. Il a compris la SCIENCE de l'être – la réalité des choses, malgré ce qui semble être. Il a compris ce que Mary Baker Eddy a articulé plus tard: « Dans la Science, tout l'être est éternel, spirituel, parfait, harmonieux en toute action. » (S16)

Jésus savait que Lazare avait simplement besoin de se réveiller du faux sentiment qu'il y avait quelque chose de mortel (ayant un début et une fin) en lui. Comme l'écrit Mary Baker Eddy, Jésus « comprenait que l'homme, dont la Vie est Dieu, est immortel, et il savait que l'homme n'a pas deux vies, l'une devant être détruite et l'autre rendue indestructible ». (S14) Cela semble être la partie délicate. Nous admettons que nous avons une « âme immortelle » (comme certains le disent), mais il semble également que nous ayons ce corps mortel. Le fait est que notre identité est entièrement spirituelle! Nous sommes idée – l'image de l'Entendement. Et, alors que nous « passons du sens matériel au sens spirituel de l'être » et « laissons le modèle parfait être présent dans nos pensées », nous pouvons démontrer notre moi « éternel, spirituel, parfait, harmonieux en toute action » qui est l'indestructible nature de chacune des idées de Dieu. (S16 et S17)

Mon expérience a été que, face à des circonstances et des rapports menaçants – comme celui que Jésus a reçu à propos de Lazare – j'ai été témoin de la guérison lorsque j'ai abandonné toute responsabilité personnelle et que je me suis fortement appuyé sur la Science de l'être – la vérité du sens spirituel contre le faux rapport des sens matériels. Chérir le message réconfortant qui se trouve dans bon nombre de nos hymnes a souvent brisé l'envoûtement pour moi.

Je me souviens distinctement d'une fois où je me suis détourné de l'évidence effrayante et j'ai commencé à chanter « Douce Présence » (Prière du soir de « Mère » de Mary Baker Eddy). Il dit en partie: « Vie infinie, Ô souverain pouvoir . . . » Et puis parle de la façon dont l'Amour tient et élève complètement chaque idée précieuse de la création de Dieu. Je suis devenu tellement plongé dans ce message que le témoignage du sens matériel a cédé et que la crise est passée. J'aimerais dire que cela a toujours été mon expérience. Ça ne l’a pas été. Mais, je suis convaincu qu’en faisant de notre mieux pour voir les choses du point de vue de la Science de l’être, nous verrons la continuité de la Vie qui « est, comme le Christ, la « même hier, aujourd'hui et éternellement ». Nous devons suivre l'exemple de Jésus et ne pas être trompés par de faux rapports – aussi effrayants ou impressionnants paraissent-ils. Le Christ vient sûrement à chacun… comme Jésus est allé à Lazare… apportant le salut!

Section 4: rejeter le blâme afin de libérer l'humanité de se concentrer sur la mort.

On nous dit dans Science et Santé que c'est notre privilège « de prouver ces paroles de notre Maître: « Si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. » » (S22) Dans ce cas, le mot grec traduit comme voir est theoreo. Cela signifie « être spectateur de; discerner, reconnaître, considérer, percevoir. »

Je ne pense pas que cela dise que nous n’aurons jamais à affronter la mort – qu’elle ne nous croisera jamais le chemin. Il a croisé le chemin de Jésus. Mais que pouvons-nous apprendre en examinant la réponse de Jésus? La réponse initiale de Marie et de Marthe a été de blâmer Jésus pour la mort de leur frère. Si Jésus était venu plutôt , il aurait sûrement pu le guérir et il ne serait pas mort. Mais, Jésus n'a pas été impressionné par la preuve que Lazare était mort.

Les larmes de Jésus ont démontré son grand amour pour Lazare – et pour les sœurs. Il n'abordait pas la situation d'une manière impitoyable ou cavalière. Mais, il n'était pas dupe non plus de ce qui semblait être! Il savait que la vie – et non la mort – est la volonté de Dieu pour ses enfants. Et ainsi, il « leva les yeux en haut », s'adressa à Dieu comme Père et remercia Dieu de l'avoir exaucé , affirmant que Dieu exauçait toujours ses prières. Au moins un commentateur fait valoir qu'il était important de rendre gloire à Dieu pour ce qui allait se passer.

Jésus a compris que tout ce qu'il a démontré était le résultat de la compréhension qu'il avait de sa (et de notre) relation intime et indivisible avec Dieu – avec la Vie! (New Interpreter's Bible) Et, alors Jésus a appelé Lazare – l'éveillant comme nous réveillerions quelqu'un d'un rêve endormi. Jésus a parlé avec l'autorité de la Parole (le Logos ou principe et ordre éternels de l'univers) et l'action de Lazare « sortir » a été la réponse naturelle et immédiate au commandement de la Parole. Jésus a ensuite ordonné aux gens de « le délier et de le laisser aller ». (Bible 9) N'était-ce pas un ordre de délier Lazare de l'histoire de sa maladie et de sa mort – le libérer afin qu'il exprime la liberté qui vient d'être l'idée spirituelle de la Vie infinie?

La partie Science et Santé de cette section explique comment Jésus a ressuscité Lazare – en comprenant qu'il n'était jamais mort. (S18) Cela explique pourquoi nous devons apprendre que la maladie ne peut pas détruire la vie et pourquoi la mort n'est pas le chemin du salut du péché ou de la maladie. Nous pouvons être libérés de la peur de la mort ou du désir de mourir. (S19)

Nous ferons face à des épreuves – comme notre monde en est confronté en ce moment. La question est de savoir comment nous réagissons. Quand quelqu'un se pousse contre vous, n’avez-vous pas à le repousser plus fort pour rester debout? La même chose ici… plus l'épreuve est difficile, plus notre foi doit être forte – et plus notre amour pur – pour rester debout. Peu importe à quel point il paraît être réel et effrayant, nous pouvons dégonfler la peur de la mort en comprenant que Dieu, la Vie, l'Entendement sont vraiment omniprésents et que l'homme, en tant qu'idée, ne peut jamais être séparé un instant de sa source divine. Mais nous ne pouvons pas attendre ce que nous considérons traditionnellement comme la mort pour le prouver! Chaque fois qu'une suggestion « d'inaction, d'action morbide, d'action excessive [ou] de réaction » se présente sous quelque forme que ce soit, nous devons la contrer par le fait que la Vie est tout et que l'Entendement gouverne – sans interruption! (S22)

Il me semble que nous pouvons apprendre quelque chose en ce moment sur l'importance de ne pas répondre à la pandémie actuelle avec le blâme (comme, nous ne serions pas dans cette position si quelque chose avait été fait plus tôt), ou la peur, mais avec la confiance que Dieu est au contrôle. Alors que nous levons les yeux vers LUI et reconnaissons seulement ce qui est vrai, et voyons le pouvoir vivifiant de la Vérité comme capable de vaincre la puissance rapportée d'un virus pour produire la maladie et la mort – nous pouvons être sûrs que nous (et l'ensemble monde) sortirons victorieux! C'est un privilège de se tourner systématiquement vers la loi de la Vie afin de voir la santé et l'harmonie retrouvées!

Section 5: Le Christ ressuscité omniprésent révèle la coexistence de l'homme avec Dieu, la Vie.

Cette section commence comme la dernière s'est terminée – avec l'assurance que « si quelqu'un garde ma parole (ou ma Vérité ), il ne verra jamais la mort ». (Bible 10) Ceci est similaire à la déclaration de Jésus:

« Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. » (Jean 8: 31,32) Pour moi, Jésus encourage ceux qui l'entendent à suivre ses enseignements et à imiter ses pensées et son exemple, en leur assurant que ce qu'il a fait ne lui est pas propre. L'autorité vient du Père – de Dieu – et est accessible à tous! Les disciples de Jésus (c'est-à-dire NOUS) peuvent s'attendre à voir et à faire ce que Jésus a vu et fait.

Les Juifs pensaient toujours de façon linéaire et d'un point de vue mortel. Abraham avait vécu et était mort depuis longtemps. Comment Jésus pouvait-il dire qu'il existait avant Abraham ou que la mort ne viendrait pas à ceux qui « ont gardé sa parole »? Mais, Jésus parlait d'une perspective purement spirituelle – identifiant à la fois Abraham et lui-même comme des idées spirituelles éternelles de l'Entendement – remplissant leur niche dans le temps et l'éternité. (voir Ret.70: 18)

« Quand Jésus dit: « Avant qu'Abraham fût, je suis », il montre sa préexistence avec Dieu au-delà des limites du temps. » (New Interpreter's Bible) Les Juifs ont jeté des pierres à Jésus pour cela. Pourtant, il a traversé la foule sans être touché. (B10) Les théories basées sur des preuves physiques et suivant le modèle médical diraient qu'il est impossible d'arrêter ce virus sans prendre un long temps et sans vaccin. Mais devons-nous accepter ce modèle mortel? Nous sommes toujours respectueux et aimants envers les autres. Nous respectons la loi. Mais, en tournant constamment la pensée pour être alignée sur la vérité de Dieu, nous pouvons nous attendre à démontrer la capacité de tous à traverser les menaces violentes d'un virus, intact.

A travers la transfiguration, Jésus a démontré le statut immortel de l'homme – en visitant Elie et Moïse sous des formes visibles pour les disciples. Mais le message est également devenu évident que Jésus n'était pas seulement « un autre » prophète. Les prophètes avaient joué un rôle essentiel dans la préparation du chemin, mais le rôle de Jésus était unique. Lui seul est identifié comme le « Fils bien-aimé de Dieu » et ils devaient « l'écouter ». (B11)

Jésus était le « tabernacle » (skene) – la réalité de la présence permanente de Dieu avec nous. Donc, pas besoin de Pierre pour construire des tabernacles. Comme l'explique Mary Baker Eddy, « Le Christ illustre [rend clair] cette union avec Dieu, son Principe divin, qui donne à l'homme la domination sur toute la terre ». (S23) Donc, si nous sommes tentés de nous sentir dépassés par les circonstances auxquelles nous sommes confrontés, notre réponse est à portée de main. Le besoin est de tourner la pensée de tout cœur pour rechercher et percevoir le message de la Vérité (le Christ ressuscité) qui est toujours présent et peut être entendu, ressenti et expérimenté. Tout comme nous allumons une lumière quand nous ne pouvons pas trouver quelque chose dans l'obscurité, « La Science divine [pensez à la Parole de Dieu] dissipe les nuages ​​de l'erreur avec la lumière de la Vérité, lève le rideau sur l'homme et révèle qu'il n'est jamais né et ne meurt jamais, mais coexiste avec son créateur. » (S27) Étant coexistant, nous sommes exemptés de tout ce qui ne ressemble pas à Dieu!

Section 6: Choisissez la Vie!

Nous faisons un choix avec chaque pensée que nous avons… avec chaque suggestion à laquelle nous donnons notre consentement ou rejetons. Choisissons-nous de vivre ou de mourir? (Bible 13) Dieu choisit la vie pour ses enfants et nous devons répondre à ce choix. « Marcher devant l'Éternel, Sur la terre des vivants », c'est pour moi m'efforcer de faire correspondre chaque pensée et chaque action à ce que Dieu sait et fait. (Bible 14) Nous sommes assurés que notre compréhension – « si minime soit-elle » – que « l'être est sainteté, harmonie, immortalité… élèvera la norme physique et moral des mortels, augmentera la longévité, purifiera et ennoblira le caractère ». Et « le progrès détruira finalement toute erreur et mettra l'immortalité en lumière ». (S31) Lorsque nous entrevoyons que l'immortalité est vraiment la loi de l'être, nous éliminons la menace d'un virus (ou de toute autre cause) comme pouvant nous rendre malades ou nous faire mourir.

Pour moi, accomplir l'ultime spirituel peut sembler décourageant si je regarde jusqu'où je dois aller pour garder chaque pensée conforme à la vérité de l'être de Dieu. Je dois donc l'aborder pensée par pensée, action par action, moment par moment, jour après jour. Et j'ai constaté que je dois pardonner mes nombreuses dérapages et remonter sur le cheval, pour ainsi dire – refuser de me concentrer sur ce que j'aurais dû faire de mieux et être reconnaissant pour tout le peu de réceptivité que je démontre en m'efforçant de « marcher en la présence de l'Éternel pendant que je vis ici sur terre ». (B14, traduction française pas autorisé de NLT) Dieu aime tellement chacun de nous – TOUS. Alors que nous nous « convertissons et vivons » (Texte d'or), l'Amour nous donnera tout ce dont nous avons besoin!

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