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LA MATIERE, 17 au 23 septembre 2007
Traduction libre d’un texte de Russel Fogg, C.S. of Boulder, CO, USA
par Pascal Bujard et autorisée par Warren Huff, Directeur des camps CedarS
Tirée du site www.cedarscamps.org
 
Note du rédacteur : Les renseignements et les idées suivantes s’appliquent à la Leçon Biblique de la Science Chrétienne pour cette semaine, et sont offertes principalement pour aider les campeurs et le personnel (aussi bien que les amis) de CedarS Camps, de voir et de démontrer l’importance de l’étude quotidienne des Leçons Bibliques de la Science Chrétienne toute l’année, et pas seulement pendant la durée du camp. La version originale en anglais de ce texte est disponible sur le site Internet de CedarS à l’adresse http://www.cedarscamps.org/metaphysical Vous pouvez vous inscrire à cette adresse afin de recevoir ce texte en anglais, ainsi qu’en français ou en espagnol (par Ana Arcioni) chaque mercredi.
 
 
Texte d’Or : « Veux-tu poursuivre du regard ce qui va disparaître… ? »
Quelle réponse donnez-vous ? Allez-vous accepter [sans réfléchir] ce qui n’est pas vrai ? Allez-vous perdre votre temps [précieux] sur [surveillant et attendant avec impatience] des choses sans valeur ? Allez-vous vous éloigner de la substance et vous appuyer sur une illusion ? Si vous répondez non, alors explorons comment trouver et déraciner les fausses idées.
 
Lecture Alternée : « Que jamais je ne sois confondu ! » (Ps. 71 :1)
« Détourne mes yeux de la vue des choses vaines, fais-moi vivre dans ta voie ! » (Ps. 119 :37) Combien de fois ai-je prié en me basant sur ces lignes. Les versets poétiques des Psaumes peuvent se substituer à nos propres paroles de la même manière que nous pouvons apprécier des chansons lorsque les paroles touchent une corde dans nos coeurs. Ici, le Psaume nous aide à déclarer notre intention de mettre Dieu en premier et de demander de l’aide pour le faire. Il nous aide à définir combien Dieu est plus grand que les idoles matérielles qui ne peuvent pas parler, écouter, voir, ou respirer, et pourquoi nous devons nous tourner vers le seul, le véritable Dieu vivant pour toutes nos réponses et besoins.
 
SECTION I : Cessez de vous fier aux fausses illusions ! Chérissez les 3 « omni » !
Comment pouvons-nous nous attendre à comprendre Dieu par la matière ou la mortalité alors que Dieu est Esprit ? Et comment pouvons-nous réellement L’honorer par de simples paroles ? C’est souvent ce que nous essayons de faire. Les Psaumes de la Lecture Alternée commencent par des paroles qui touchent nos coeurs désireux, mais aident seulement parce qu’ils expriment une véritable aspiration. Esaïe nous prévient que si nous nous limitons à exprimer les paroles de désirs spirituels dans nos coeurs et si les vies sont centrées sur la « sagesse » de la vie matérielle, nous ne seront pas sages du tout, et nous verrons les choses selon un mauvais point de vue. Juger la sagesse de Dieu selon une sagesse matérielle (comme si une telle chose pouvait exister !) est complètement faux. Dieu nous dit par Esaïe, qu’Il nous a formé même si nous ne Le connaissons pas, mais Il nous promet aussi que si nous nous tournons uniquement vers Lui, Il prendra soin de nous.
 
Science et Santé dit cela de manière douce et simple. L’Esprit est réel ; la matière non. L’Esprit est vérité ; la matière est fausse. Si nous commençons avec quelque chose de faux, allons-nous obtenir la bonne réponse ? Bien sûr que non. Peu importe si une illusion est merveilleuse ou ravissante, elle reste une illusion, et peu importe si nous essayons durement, nous ne pouvons pas la rendre réelle. Nous obtenons alors la raison pour laquelle la matière ne peut pas être réelle : L’Esprit est omnipotent (possédant tout pouvoir), omniprésent (remplissant tout espace), et omniscient (connaissant toute chose ; toute Science). Quel pouvoir peut donc avoir la matière si l’Esprit a tout pouvoir ? Et où peut exister la matière si l’Esprit a déjà rempli tout espace ? Et comment la matière (l’entendement mortel) peut être intelligente si l’Esprit connaît tout ? [Une idée d’étude pour l’Ecole du Dimanche : De quelles illusions qui nient la totalité de Dieu, êtes-vous prêt de vous réveiller ?]
 
SECTION II : L’adoration de la matière et celle du corps sont des bêtises !
La 5ème citation de la Bible est tout d’abord un peu difficile. Si vous avez le temps de lire le 44ème chapitre d’Esaïe en entier, cela apportera une lumière nouvelle sur la partie qui se trouve dans la Leçon. Après avoir lu le chapitre tout entier, l’idée de la section est devenue très claire pour moi : « Je suis le seul véritable Dieu (le seul pouvoir) et adorer quelque chose d’autre est une bêtise. Toutes les idoles créées par des choses matérielles ont besoin des mortels pour exister. » Sans l’homme mortel, aucun autre dieu ne pourrait exister. Par opposition, le réel Dieu créa l’homme, et le reste du chapitre (après les citations de la Leçon) continue avec toute la poésie et les exemples qui indiquent cela.
 
D’accord ! Alors Dieu est le seul Dieu réel car Il n’a pas été créé par des mortels. Et alors ? Et bien, si Dieu, qui est Esprit (selon la section 1), nous a créés, alors nous ne pouvons pas être matériels. Pourquoi Dieu ne pourrait-Il pas créer la matière ? Car la matière et l’Esprit sont aussi différents qu’une ligne droite l’est d’une courbe. Une ligne droite ne peut pas contenir une courbe, et une courbe ne peut pas être droite : les deux s’excluent mutuellement. (S&S 5) Si je suis soit matériel, soit spirituel, alors je dois certainement être matériel, n’est-ce pas ? Même si je travaille vers la spiritualité, j’existe en ce moment dans la matière, n’est-ce pas ? Non ! C’est le raisonnement à l’envers contre lequel nous prévient Esaïe dans la première section. (Bible 3, 4) Alors essayons encore. Si je suis soit matériel, soit spirituel, je dois être spirituel, car Dieu m’a créé, et si je suis spirituel, alors mon corps matériel est une illusion. Exactement. En outre, il est insensé d’essayer de glorifier Dieu (le seul réel Dieu) par une illusion. S’inquiéter de ce que l’illusion nous dit (que cela soit bon ou mauvais) ne nous aide pas à mieux comprendre Dieu ou nous-mêmes.
 
SECTION III : La confiance qui permet de défier la mort fonctionne comme de la dynamite pour la Sunamite !
Cette section commence avec une promesse d’Esaïe (Bible 7) que si nous faisons ce que les sections 1 et 2 nous ont dit de faire et si nous servons Dieu – adhérant à un sens spirituel de Dieu – nous serons bénis. Mais avec quoi ? Avec un sens spirituel de Vie. La femme Sunamite a reçu un fils de Dieu. Si nous lisons en dehors des citations de la Leçon (II Rois 4 :14), nous apprenons que son mari était vieux, ce qui, humainement parlant, signifie qu’ils n’auraient pas pu avoir d’enfant. Grâce à sa gentillesse avec Elisée, un homme de Dieu, Dieu lui donna un fils – quelqu’un qui pourrait prendre soin d’elle lorsqu’elle serait plus âgée et aiderait son père dans son travail. Un enfant était très important à cette époque car les enfants prenaient soins de leurs parents. Lorsque l’enfant mourut soudainement, elle se tourna vers Dieu en allant vers Son prophète, Elisée. Par sa foi en Dieu, elle était capable de dire que « tout allait bien » pour elle, son mari et son enfant malgré l’évidence matérielle de sa disparition. [Hymne 350 est basé sur neuf variations de l’affirmation que « tout est bien » !] Par la compréhension d’Elisée que Dieu donne toute vie, il ne fut pas trompé par ce que la matière – l’illusion – lui disait lorsqu’il arriva sur le lieu, et cela lui permit de témoigner de l’immortalité de la création de Dieu.
 
Les citations dans Science et Santé de la moitié de la section déclarent la vérité au sujet de la Vie – elle est spirituelle et n’a aucun rapport avec la matière. La Vie est indépendante de la matière, et la matière n’a rien à dire dans la matière, peu importe ce que la matière dit. La matière ne peut même pas déterminer son propre état, ce qu’elle essaya de faire avec l’enfant de la Sunamite lorsqu’il a dit « Ma tête ! Ma tête ! » L’électricité est soi-disant ce qui permet au cerveau de fonctionner, mais Mary Baker Eddy explique que l’électricité n’est rien de plus qu’une forme impalpable de la matière et n’a aucune intelligence. Lorsque nous comprenons que la matière ne peut avoir aucune intelligence, nous apprenons qu’il n’y aucune raison d’écouter une suggestion venant du corps, et cela laisse à notre corps, en tant que serviteur de l’Entendement, l’intelligence réelle. C’est là la finalisation de la promesse d’Esaïe au début de la section : nous sommes bénis car nous ne sommes pas les victimes impuissantes des ridicules drames de souffrance de la matière. Au lieu de cela, nous vivons dans la liberté spirituelle. [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Quelles rediffusions ridicules de « traumatismes dramatiques » (dans le Monitor de la Science Chrétienne ou ailleurs pouvez-vous aider à terminer par la prière aujourd’hui ?]
 
SECTION IV : Le figuier stérile pourrait représenter l’adoration matérielle stérile qui doit être déracinée.
Ah, le figuier ! Pourquoi Jésus ferait-il une telle chose ? Cela semble complètement peu aimant et inutile ; tout spécialement lorsque nous lisons [en dehors de la Leçon dans Marc 11 :13] que cela n’était même pas la saison des figues. En dehors du contexte de la Leçon, cela suit immédiatement l’action prophétique de Jésus d’aller dans le temple et de chasser les changeurs car il les réprimandait d’avoir transformé la « maison de prière » de Dieu en « une caverne de voleurs. » (Math. 21 :12) De nombreux érudits interprètent l’échange d’argent et la vente de pigeons, comme représentant la futilité de l’adoration matérielle comparée à la fertilité de la réelle spiritualité. Pour le but de la Leçon, le point est fait dans la prochaine citation (Bible 11) : chaque plante qui n’est pas plantée par Dieu sera déracinée. Jésus a alors guérit de nombreuses maladies ainsi que des boiteux, des aveugles, et des muets. (Bible 11) [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Pourquoi ces guérisons accompagnent-elles l’histoire du dépérissement du figuier ?]
 
La section de Science et Santé contient quelques citations qui sont des déclarations directes au sujet de la manière de guérir la maladie, et nous avons aussi vu les guérisons faites par Jésus dans la portion de la Bible de cette section. Mais nous n’avons toujours pas expliqué ce que la guérison a à voir avec le figuier desséché. Et tant que nous y sommes, pourquoi toutes les instructions dans cette section concernent-elles la façon de penser au sujet des maladies ? Et pourquoi la définition de « Créateur » se trouve-t-elle là ? Le figuier desséché pourrait représenter toutes les choses matérielles. La maladie, le péché, et la mort en général, et de manière plus spécifique, « les tumeurs, les ulcères, les tubercules, l’inflammation, la douleur, la déformation des articulations » (S&S 18) ainsi que le « cancer, la tuberculose ou la variole. » (S&S 20) Il nous est enseigné de déraciner et de chasser le « produit de l’erreur. » (S&S 17) Mais comment ? Apparemment, toutes « s’enfuient devant la lumière de la Vérité » comme le figuier desséché en présence de l’idée Christ. (S&S 18) Et si le figuier desséché représente la temporalité et le peu de substance de la matière, nous devons maintenir mentalement nos arbres – dans l’Entendement – ce qui est la raison pour laquelle les instructions de Mme Eddy concernent la façon dont nous pensons à ces choses. « Toutes les choses belles et inoffensives sont des idées de l’Entendement, » il nous est dit, et il nous est enseigné de ne pas laisser de fausses prétentions de maladie ou de péché « se développer dans votre pensée. » (S&S 19, 20) Nous faisons cela sur la base que notre Créateur est spirituel, intelligent, et « le vivifiant Principe divin de tout ce qui est réel et bon. » (S&S 16) Et bien, la maladie et le péché ne sont pas bons, ils ne peuvent donc pas être réels, et ils se dessécheront devant la Vérité, comme le figuier sans fruit. Lorsque les erreurs de la matière disparaissent, la vérité de notre être spirituel est révélée. De la même manière, lorsque la vérité de notre être spirituel est révélée, les erreurs de la matière disparaissent. Ils sont simultanés, il n’importe donc pas de la manière dont cela se passe. C’est ce que nous appelons la guérison, et nous pouvons tous être bénis en servant la Vérité, comme ceux qui furent guéris par Jésus. [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Identifiez « tout ce qui semble blessant » comme étant prêt à être supprimé correctement par la vérité qu’ « une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d’erreur ». (S&S 21)]
 
SECTION V : Protégé de l’entendement mortel démontre la pureté qui vous permet de voir Dieu – en qui « nous avons la vie, le mouvement, et l’être. » (Hymne 144 et Bible 16)
Cette section est assez simple : Si nous gardons nos coeurs purs et propres – nos véritables désirs spirituels, nous verrons Dieu. Mais nous ne Le verrons pas dans des choses matérielles car Il est Esprit. Nous vivons dans l’Esprit et nous bougeons en Esprit et nous avons notre être dans l’Esprit, il est donc naturel pour nous d’être purs dans le coeur. Malgré cela, ça ne semble pas toujours être le cas. [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Quel « pirate » écoutons-nous lorsque nous acceptons que nous sommes naturellement des pécheurs et impurs ?]
 
Comme les guérisons semblent se produire dans la matière – mon bras était cassé, mais maintenant il est guéri – cela peut sembler confus de savoir si le bras est spirituel ou matériel. [Mais ne nous laissons jamais avoir !] La section 4 expliquait que toutes les choses matérielles s’évanouissent en présence de la Vérité, mais comme le bras n’a pas disparu, cela signifie-t-il qu’il est spirituel ? Question piège. L’idée d’un bras est une idée spirituelle et cette idée spirituelle est vue spirituellement. La chose qui s’est cassée était une contrefaçon matérielle de l’original ; la chose réelle ne se casse pas. Nous utilisons notre sens spirituel plus que nous ne le pensons, car chaque fois que nous voyons une action harmonieuse, nous voyons quelque chose qui « procède de l’Esprit, Dieu. » (S&S 22) Et si Dieu est Esprit, nous devons percevoir l’harmonie spirituellement. Lorsque vous pensez, « Mais je vois aussi l’harmonie dans le monde physique, n’est-ce pas ? », souvenez-vous que la matière et l’entendement mortel n’ont aucune harmonie ou bien en eux-mêmes. Tout ce qui est bon et vrai vient de Dieu et est spirituel. L’entendement mortel est ce qui provient du monde physique, mais l’entendement mortel est un peu comme l’enfant dans une classe qui entend quelqu’un donner la bonne réponse et la dit plus fort, pour que le professeur l’entende lui. Le professeur félicite et loue l’enfant qu’il a entendu, mais lorsque l’examen arrive, lequel de ces enfants aura un bon résultat ? [« Les écoles de médecine voudraient que la matière, et non l’Entendement, leur fasse connaître l’état de l’homme. » (SS& 23)] De cette manière, la science médicale est comme l’enseignant traitant cet étudiant comme un prodige, car il donne plusieurs bonnes réponses (qui n’étaient pas ses propres réponses). Il se retrouve à devoir expliquer comment tout fonctionne. L’enfant, trop vaniteux et ignorant pour connaître la conséquence de son action, commence à répondre aux questions. Il [l’entendement mortel] interprète les résultats de l’examen et ose donner des leçons aux autres. Les soi-disant scientifiques basent leurs pratiques sur des jugements erronés et mémorisent leurs pronostics et leurs diagnostics au sujet de divers problèmes. Assez rapidement, ils ont convaincu le monde de l’exactitude et de l’efficacité de leur « science » et préviennent de différentes maladies – les dangers de violer les lois que notre petit écolier favori a établi avec tellement d’ignorance et d’imprécision. Ce qui est encore pire que son évaluation de l’être qui est tellement imprécise et arbitraire, c’est le fait qu’il ait inventé certaines choses que nous ne pouvons pas éviter, même si nous obéissons à ses lois. Et il nous dit qu’elles font tout simplement partie de la vie. Mais pendant tout ce temps, cette calme petite voix que personne n’entend au fond de la classe nous parle de liberté, d’harmonie, de santé, et de joie qui nous appartiennent naturellement. C’est la vérité de notre être. Cette section promet que lorsque nous cessons de croire la « science » médicale mal inspirée et que nous comprenons que « reflétant le gouvernement de Dieu, l’homme se gouverne lui-même » (S&S 25), nous n’avons pas besoin de tourner en rond en regardant par-dessus notre épaule de peur que le virus qui est sensé nous rendre malade, nous tombe dessus. C’est contraire à l’idée que l’homme se gouverne lui-même. [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Comment choisirez-vous de devenir plus purement gouverné par Dieu et si correctement gouverné par soi, cette semaine ?]
 
SECTION VI : Laissez le Christ, la Vérité, calmer les nombreux orages de la matière et vous donner « une paix plus haute et plus permanente. » (S&S 8)
Qu’en est-il des désastres « naturels » ou des choses qui sont très loin du contrôle humain ? Une autre question piège. La santé elle-même est bien au-delà du contrôle humain. L’Esprit gouverne la santé, et aussi sûrement que la vérité au sujet de notre être supprime ces accusations ridicules de maladie, elle supprime les suppositions ridicules que les désastres sont naturels. Jésus prouve cela rapidement et de manière efficace lorsqu’il reconnait que la tempête n’avait en fait aucun pouvoir.
 
Une erreur est une erreur, peu importe si elle peut sembler très impressionnante. Nous n’avons pas besoin de faire quelque chose pour que cela soit vrai. Ce n’est pas Jésus qui calma la tempête ; c’était la Vérité qui éloigna l’erreur. Cela n’a aucune importance si l’erreur prend la forme de la discorde, de la maladie, du péché, de la mort, ou de la crainte, c’est toujours une erreur, et la Vérité l’élimine. Si vous avez un faux billet d’un dollar, et si j’en ai un vrai, seriez-vous prêt à faire un échange ? D’accord, mais si vous aviez pour 15 millions de dollars de faux billets, et moi des vrais ? Cela n’a aucune importance si la contrefaçon est impressionnante, car elle n’a aucune valeur, et nous serons très heureux de l’échanger pour la véritable chose et éliminer l’erreur avec cette vérité. Nous ne pouvons pas être dupés par la contrefaçon lorsque nous savons à quoi ressemble l’original. La véritable création ressemble à l’harmonie, à l’amour, à la santé, à la paix, et à la permanence. N’acceptez rien d’autre.
 
« Ressentons la divine énergie de l’Esprit, qui nous mène au renouvellement de la vie et ne reconnaît aucune puissance mortelle ou matérielle capable de détruire. Réjouissons-nous d’être soumis aux divines “puissances qui subsistent”. Telle est la vraie Science de l’être. » (S&S 30) [Idée pour l’Ecole du Dimanche : Comment et quand, pouvons-nous échanger notre énergie humaine contrefaite et ses supposées sources contre « la divine énergie de l’Esprit, qui nous mène au renouvellement de la vie » ? (S&S 30)]
 
 
Remarque
Le texte ci-dessus fait partie d’une longue série de notes sur les leçons bibliques créées chaque semaine par des praticiens résidents de CedarS (un camp sans but lucratif qui s’appuie sur la Science Chrétienne dans toutes leurs activités – semblable à Arc-En-Ciel en Suisse) et de manière occasionnelle par d’autres métaphysiciens. Ce document est destiné à pousser plus loin l’étude des leçons bibliques hebdomadaires (selon les Livrets trimestriels de la Science Chrétienne), ainsi qu’encourager la mise en application des idées qu’on y trouve. A l’origine, ce document n’était envoyé qu’aux participants des camps CedarS, ainsi qu’à leurs familles qui voulaient continuer chez eux, dans leurs Ecoles du Dimanche, à appliquer les mêmes principes pour l’étude de la leçon. Ces notes hebdomadaires ne sont en aucun cas définitives, ou un substitut à l’étude quotidienne de la leçon dans les livres. Les pensées présentées sont l’inspiration d’un moment et sont offertes pour donner un peu plus de dimension et de fond aux idées et passages étudiés. La Leçon-Sermon parle individuellement à chacun par le Christ, fournissant un aperçu unique et une mise en application sur mesure à chacun d’entre nous. Nous sommes heureux que vous ayez demandés ce partage métaphysique et nous souhaitons que vous y trouviez des idées qui vous aideront dans votre voyage spirituel quotidien.
Warren Huff, Directeur du Camp : director@cedarscamps.org
 
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Le Bulletin Métaphysique hebdomadaire est offert sans frais aux 1’200 campeurs et au personnel, bénit chaque été au camp CedarS aussi bien qu’aux anciens campeurs, aux amis et aux familles qui l’ont demandé. Cependant, des contributions actuelles et futures sont très appréciées pour nous aider à faire face aux coûts de production de ce bulletin, aussi bien que pour aider les campeurs, pour le soutien des programmes et de l’exploitation du camp. Cliquez sur http://www.cedarscamps.org/giving pour savoir comment vous pouvez nous soutenir sur Internet, ou pour trouver des renseignements pour nous contacter en privé pour faire un don qui aidera à perpétuer le bon travail de CedarS. Vous pouvez aussi envoyer votre contribution non-imposable par la poste à: The Cedar’s Camps, Inc., 19772 Sugar Drive, Lebanon, MO 65536
 
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