PERIODE PROBATOIRE APRES LA MORT, 19 au 25 octobre 2009
Traduction libre d’un texte de Rick Stewart, C.S. of Dresden, Germany
par Pascal Bujard et autorisée par Warren Huff, Directeur des camps CedarS
Tirée du site www.cedarscamps.org
Note du rédacteur : Les renseignements et les idées suivantes s’appliquent à la Leçon Biblique de la Science Chrétienne pour cette semaine, et sont offertes principalement pour aider les campeurs et le personnel (aussi bien que les amis) de CedarS Camps, de voir et de démontrer l’importance de l’étude quotidienne des Leçons Bibliques de la Science Chrétienne toute l’année, et pas seulement pendant la durée du camp. La version originale en anglais de ce texte est disponible sur le site Internet de CedarS à l’adresse http://www.cedarscamps.org/metaphysical Vous pouvez vous inscrire à cette adresse afin de recevoir ce texte en anglais, ainsi qu’en français ou en espagnol chaque mercredi.
Les 26 sujets hebdomadaires que Mary Baker Eddy a sélectionnés pour l’étude dans la Leçon biblique étaient ce qu’elle considérait comme les éléments clés à comprendre pour avancer dans une connaissance pratique de la Science Chrétienne. Certains de ces sujets des Leçons sermons ont été vigoureusement débattus dans les églises et dans le public, à l’époque de Mme Eddy. Le sujet de cette semaine, Période probatoire après la mort, était un bon exemple de ce débat et ces discussions continus.
En 1888, un article est apparu dans le New York Times concernant le sujet, « Période probatoire après la mort. » Un ministre de l’église congrégationaliste, William H. Noyes, voulait servir comme missionnaire. Il était actif dans la région de Boston et servait comme assistant du pasteur de l’église « Barkley Street Congregational Church ». Il avait été rejeté comme missionnaire par un membre officiel du comité de l’Eglise congrégationaliste. Les préoccupations concernant le révérant Noyes concernaient « son opinion concernant la Période probatoire après la mort. » Vingt-deux églises de la région de Boston se sont alors réunies pour parler du problème et ont sponsorisés le révérant Noyes pour une mission au Japon. (Lisez le New York Times du 10 novembre 1888).
Quelques années plus tard, une autre dénomination apparaissait dans les journaux ; l’église presbytérienne. Un ministre de cette église passait en jugement devant un comité de l’église au sujet de la question, était-il coupable d’avoir enseigné que le « processus de rédemption s’étendait au monde à venir, dans le cas des nombreuses personnes qui étaient mortes dans le péché ? » Et son affirmation était qu’il avait « répudié les doctrines catholique romaine concernant le purgatoire » et les doctrines « d’une probation future et d’une régénération après la mort, ou tout commencement de vie chrétienne après la mort. » (Lisez le New York Times du 30 mai 1893 « The Great Presbyterian Theological Trial Begun »)
Ces débats théologiques peuvent nous sembler assez désuets aujourd’hui, mais ils continuent à être discutés et débattus dans plusieurs églises. Lorsque ces sujets sont amenés à la lumière de la compréhension par nos Leçons bibliques hebdomadaires, nous gagnons une plus profonde compréhension d’un aspect spécifique de l’Evangile, les bonnes nouvelles pour tous.
Dans la Leçon de cette semaine, nous voyons des exemples très clairs de la manière dont Dieu nous conduit à une compréhension présente de la vie éternelle. En tant que brebis obéissante, nous apprenons à marcher sur le chemin sûr que notre Berger trace pour nous. Nous sommes nourris, abreuvés, protégés, et enveloppés dans le tendre soin d’un Berger qui est Lui-même la Vie. Nous apprenons à démontrer que Dieu est la Vie, ici, maintenant, et éternellement, et comme un Berger, Dieu nous guide sur notre chemin vers la Vie éternelle.
Le Texte d’Or et la Lecture Alternée sont tous les deux identifiés comme des Psaumes de David et viennent de la partie du Livre des Psaumes considéré comme la plus ancienne. (Un Psaume est un chant de louanges, et on pense souvent qu’il s’agit d’un chant religieux chanté avec l’accompagnement d’un instrument à corde.) Nous connaissons l’auteur de ces Psaumes, comme étant David, un enfant berger, le tueur de Goliath, et un futur roi.
Le Texte d’Or – Psaume 37 : On nous dit que les pas d’un homme sont « affermis » par l’Eternel. Nos pas – guidés par Dieu – sont aussi décrits comme étant « établis, dirigés, guidés. »
La Lecture Alternée est le bienaimé Psaume 23. Une explication intéressante de ce Psaume est trouvée dans le merveilleux petit livre, « Song of our Syrian Guest » par William Allen Knight, publié en 1904. (http://www.giveshare.org/library/psalm23.html) Ce livre explique que les bergers dans cette partie du monde marchent devant leurs troupeaux, les menant à la nourriture, à l’eau, à l’abri, et guident les brebis sur le chemin pour les garder en sécurité. Le commentaire Dummelow explique que les bergers orientaux tiennent toujours une « houlette » et un « bâton ». La houlette est une crosse en bois pour défendre les brebis. Le bâton est une perche plus longue pour escalader ou prendre appui, et est très utile au berger.
Un autre petit livre intéressant, c’est « A Sheperd Looks at the 23rd Psalm » par Phillip Keller, qui parle très bien du bâton du berger. Il est sélectionné et façonné avec grand soin par le berger qui le tire d’un jeune arbre. Il est utilisé pour guider les brebis sur des chemins difficiles, et il est aussi utilisé pour aider un agneau à éviter un danger, ou pour faire sortir une brebis prises dans les ronces et les épines. Et le berger utilise aussi le bâton pour examiner ses brebis. Donc la phrase « je vous ferai passer sous la verge » (Ezéch. 20 :37) décrit une inspection faite par un berger sur une brebis et dénote une sollicitude, et un examen attentif d’une blessure qui reçoit ensuite une tendre attention du berger.
Alors que nous nous lançons dans une Leçon biblique sur le sujet, « Période probatoire après la mort », n’est-ce pas réconfortant de penser à ce sujet du point de vue du soin que Dieu, notre Berger, prend de son troupeau ?
En rendant visite à un membre de l’église, ce matin, j’ai entendu une histoire incroyable. Ce membre se trouvait dans le « Strassebahn », le tram, pour se rendre à l’église. Elle traversait l’un des ponts traversant la rivière Elbe. (Dresde est une ville d’environ 500’000 habitants. La rivière Elbe traverse la ville.) En prévoyant bien l’avenir, la ville a été construite en laissant de larges prairies de chaque côté de la rivière. A l’époque, les bergers utilisaient ces prairies pour faire paître leurs troupeaux. Ils déplaçaient leurs troupeaux tous les 2-3 jours et les protégeaient en utilisant des clôtures mobiles. La brebis tond l’herbe de la prairie d’une manière naturelle et apporte aussi beaucoup de fertilisant. En ce dimanche particulier, le membre de l’église était assez surpris lorsque son tram s’arrêta au beau milieu du pont. Un peu de temps passa et elle vit la chose la plus incroyable. Un berger traversait le pont. Derrière lui, il y avait un énorme troupeau de brebis qui était parfaitement en ordre et traversait harmonieusement le pont.Le membre de l’église a été impressionné de voir les brebis avancer plein de foi et de calme. Elles suivaient leur berger comme si marcher au milieu d’une ville était la chose la plus naturelle qu’elles aient jamais faites. C’était l’illustration parfaite de la brebis faisant confiance à son berger et le suivant, y compris sur des chemins inhabituels. Dans ce cas, il ne s’agissait pas d’un chemin rocailleux ou dangereux, mais d’une rue animée d’une ville. Les brebis était en sécurité, en bonne santé, et ont été conduite à la délicieuse nourriture de l’autre côté de la rivière. Leur foi en leur berger les a gardés en sécurité et en bonne santé.
Allons maintenant de l’avant, dans notre visite guidée avec notre Berger toujours-présent, Vie et Amour divins, marchant devant nous.
Section 1 : Marchez dans le chemin de la perfection et de la vie.
Tout au long de cette section, vous pouvez voir l’encouragement qui vous est fait de rester sur ce qui pourrait être appelé « le bon chemin ». Notre « chemin » (Bible 1) est d’être dévoué à l’Eternel et de lui faire confiance. Ce Psaume promet la nourriture, les désirs de notre cœur, un héritage éternel, une habitation sûre. Cela ressemble beaucoup à l’idée de suivre notre Berger et que tout ira bien.
Alors que les citations de Science et Santé nous demande de suivre patiemment le chemin de la perfection, n’est-ce pas merveilleux de savoir que Dieu, la Vie, marche devant nous comme un berger. En marchant patiemment sur le chemin de la connaissance que Dieu est la seule Vie, implique des batailles, peut-être pas contre des lions ou des ours (comme le berger David), mais avec des croyances rugissantes de la chair, du péché, de la maladie et de la mort.
Section 2 : En suivant Enoch et en marchant sur le chemin de la vie éternelle, il n’y a pas d’impasse.
La Bible commence par le Psaume 56 qui nous encourage à ne pas avoir de crainte. C’est une grande introduction pour l’histoire d’Enoch. Enoch était le père de Metuschélah et le grand-père de Noé. Il est décrit comme un homme qui « marcha avec Dieu. » On pense souvent que la description de sa marche dans la vie faisait contraste avec toute la violence de l’époque. Il devait être un homme « sans crainte », n’étant pas intimidé par ceux qui l’entouraient et vivaient un autre style de vie. Sa récompense, « il ne fut plus, parce que Dieu le prit. » Cela a généralement été compris comme le fait qu’Enoch n’était pas mort, mais qu’il avait ascensionné. L’auteur de l’Epître aux Hébreux dit, « C’est par la foi qu’Enoch fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et qu’il ne parut plus parce que Dieu l’avait enlevé ; car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu. » (Hébreux 11 :5)
En commençant la section avec une définition du Temps tirée du Glossaire de Science et Santé, cela nous montre l’importance d’éliminer ce concept humain limité. Einstein, dans sa théorie de la relativité, aida la pensée humaine à voir le temps sous une autre perspective. Mary Baker Eddy alla un pas plus loin en nous encourageant à regarder au-delà du temps et des « mesures mortelles » pour voir « la conscience divine. » En marchant dans la conscience de Dieu, comme étant la Vie, nous commençons à voir que cette Vie est notre origine et à voir où Dieu (notre Berger) est en train de nous conduire.
Lorsque j’avais 19 ans, et que je travaillais un été à Boston, une amie et moi avons eu un « aperçu » de cette présence éternelle de la Vie. Nous étions dans le « Prudential Center ». Soudain, un homme s’est effondré près de nous. Les gens criaient, « Quelqu’un connaît-il les gestes de premiers secours, appelez un docteur, demandez de l’aide. » J’avais travaillé comme sauveteur et je connaissais « les premiers secours », mais en tant qu’étudiant en Science Chrétienne, j’en avais aussi appris un autre les « Premiers Secours ». Mon amie, Sue, et moi, sommes allées à côté de l’homme. Je me suis agenouillé et j’ai pris sa main. Sue et moi étions en train de prier silencieusement. L’homme était inconscient et semblait sans vie. Tous les appels à l’aide des gens qui m’entouraient ont disparu de ma conscience, et je me suis vu envisager et me réjouir du fait que Dieu était la seule et unique Vie de l’homme. Beaucoup d’idées au sujet de la Vie qui est Dieu me sont venues à l’Esprit. Je n’ai aucune idée du « temps » qui passa. Quelqu’un a pris ma main ; j’ai ouvert les yeux et j’ai regardé dans les yeux de l’homme se trouvant sur le sol. Il était éveillé, s’est levé sans problème, et a simplement dit, « Dieu vous bénisse. » Il savait d’où était venu son aide et s’en alla de son côté. Sue et moi sommes parties de notre côté. Mais nous marchions avec une idée un peu plus claire sur le fait que Dieu est la seule vie de l’homme. Cela pouvait-il être l’endroit où notre Berger était en train de nous conduire sur Son chemin avec Enoch ? « Les progrès devraient se faire sans que l’on ait à souffrir et s’accompagner de vie et de paix au lieu de discordance et de mort. » (S&S 12)
Section 3 : « Swing low, sweet chariot, coming for to carry me home… » (qui peut se traduire par « Balance toi lentement, doux char, venu pour me ramener chez moi » (composé par Wallis Willis, qui s’est inspiré d’Elie).
Voici notre prochain exemple de quelqu’un voulant que ses pas soient dirigés vers Dieu. Elie (en hébreux, Eliyahu « my God is Jehovah »). Elie était un prophète d’Israël au 9e siècle avant J.C. Un homme dont la Bible dit qu’il « monta au ciel dans un tourbillon ». (II Roi 2 :11) Mais dans sa « marche », Elie a aussi été guidé vers une vie différente de celle de ses contemporains. Le roi Achab et sa femme Jézabel avaient apporté une prospérité économique à Israël, mais avaient aussi permis et encouragés l’adoration d’une déesse locale de la nature, Baal. Baal peut être considéré comme le « dieu de la précipitation », dieu de la pluie, du tonnerre, des éclairs, et de la rosée. Lorsqu’Elie proclama au roi Achab qu’il n’y aurait plus de pluie, c’était manifestement un défi direct contre Baal. Et une profonde sécheresse arriva. Pendant ce temps, les pas d’Elie ont d’abord été guidés vers le ruisseau Kerith où il a été nourri et désaltéré. Et lorsque le ruisseau s’est asséché, Dieu dirigea Elie vers une femme veuve à Sarepta pour qu’elle le nourrisse. Elie demanda à cette femme de lui donner de la nourriture qui lui restait et de manger ensuite avec son fils. La femme suivit attentivement ce qu’Elie lui demandait de faire et le résultat a non seulement été que tous ont pu manger, mais que la nourriture et l’huile ne manquèrent pas. Un peu plus tard, le fils de cette femme tomba malade et mourut. Mais Elie fût capable de ressusciter l’enfant. La « marche » d’Elie vers Dieu prouvait encore et encore que les ressources matérielles limitées ne pouvaient pas détruire la vie. « Je ne mourrai pas, je vivrai, et je raconterai les oeuvres de l’Eternel. » (Bible 10)
Elie dans « sa marche » mit au défi de nombreuses soi-disant conditions matérielles qui limitent la vie et semblent conduire à la mort. La citation de S&S 13 met au défi « la croyance universelle à la mort. » Les citations S&S 14 et 15 montrent que rien ne peut séparer la Vie de son représentant, l’homme. La citation S&S 16 explique comment le songe de la mort doit être surmonté par la compréhension qu’il n’y a pas de mort.
Section 4 – Souvenez-vous que la tombe n’a pas mis un terme à la vie de Lazare – nous allons toujours de l’avant.
Dans la citation Bible 12 (Jean 11), nous avons l’histoire merveilleuse de Lazare étant ressuscité par Jésus après avoir été dans la tombe pendant quatre jours. Nous avons des indications sur ce que fit Jésus par ses paroles : « Lazare, notre ami, dort ; mais je vais le réveiller » et « … quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » Ses paroles coïncide avec l’affirmation de Mme Eddy : « Jésus ressuscita Lazare grâce à sa compréhension que Lazare n’était pas mort, … » (S&S 19)
Combien nous pouvons être reconnaissants d’avoir l’exemple de Jésus devant nous concernant la vie et la présence de Dieu. Etant le Bon Berger, il nous précède pour diriger nos pas. Notre chemin vers la Vie est assuré par l’Amour de notre Sauveur et nos pas sont guidés. Mais qu’en est-il des moments où notre progrès spirituel semble lent, lorsque nos pas semblent immobiles. La citation S&S 20 nous donne un exemple encourageant, « l’ancre de l’espérance au-delà du voile de la matière dans le lieu très saint où Jésus a pénétré avant nous ; »
L’art ancien du « Jeter d’ancre » : Dans l’ancien temps, pour amener un voilier en sécurité dans un port à l’entrée étroite, une pratique courante était utilisée. Si vous ne pouviez pas entrer à la voile, vous aviez une autre alternative. Vous jetiez votre ancre aussi loin que la corde de l’ancre le permettait. Vous utilisiez votre winch (treuil) ou cabestan pour tirer votre bateau vers l’avant. J’ai compris qu’une pratique similaire était appliquée pour de grands bateaux à voile qui se trouvaient dans une zone de calme. Parfois, les marins allaient à la rame ou utilisaient cette technique de l’ancre jusqu’à ce qu’ils trouvent du vent.
Si vous prenez cette image de jeter notre ancre au-delà du voile de la matière pour la tirer ensuite à vous, vous avez une idée de progrès, lent, mais régulier. Le terme « Shekhina » se réfère au lieu de résidence de Dieu, ou à la présence de Dieu, ou vous pourriez dire, la Présence divine. Donc, lorsque nous jetons notre ancre d’espoir au-delà de la matière, vers la présence divine et que nous tirons dans cette direction, nous allons dans la bonne direction. Parfois, ce progrès lent nous maintient dans la bonne direction jusqu’à ce qu’une fraîche brise remplisse nos voiles et que nous avancions réellement.
C’est aussi une image intéressante en terme d’entrer dans un port étroit. N’est-ce pas notre destination, le port sans danger de la Vie infinie ? Parfois, nous devons nous tirer lentement en direction de ce port. Mais soyons toujours prêts à jeter notre ancre ou à la garder dans la divine présence de la Vie éternelle – qui est toujours un port sans danger.
Section 5 – Marchez dans la lumière de la Vie de notre Grand Guide
Jésus s’adressa aux juifs qui croyaient en lui et aussi à tous les disciples dans les âges à venir : « Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » (Bible 12)
Certains des premiers auditeurs de Jésus étaient des pharisiens juifs qui avaient une ferme croyance qu’ils suivaient parfaitement bien la loi. Ils étaient sûrs de leur chemin et on leur demandait maintenant d’accepter de tout leur cœur la position de Messie de Jésus, et par un changement de cœur, de suivre cette Vérité pour leur salut. Cela provoqua la haine chez plusieurs d’entre eux, car ils pensaient qu’ils étaient sur le bon chemin. Jésus demandait, tel un Berger, que ces brebis suivent sa voix conduisant à la vie éternelle. Il offrit une fois de plus, « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. » (Bible 13) Un chemin pour la Vie qui nécessite un témoignage actif en paroles et actions, et avec des signes qui suivent. (Marc 16 vaut la peine d’être lu !!!)
Les significations de ces déclarations sont devenues plus claires lorsque Jésus retourna vers ses disciples après sa crucifixion. (Bible 14) Il nous est dit qu’il « leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu. » (Actes 1 :3) (En anglais, il est dit qu’il leur apparut après « sa passion ». La Passion est un terme qui est utilisé pour les événements et la souffrance – physique, spirituelle, et mentale – de Jésus dans les heures précédentes, y compris son procès et l’exécution par crucifixion.)
Une réponse intéressante à toutes les discussions doctrinales au sujet de la « Période probatoire après la mort » nécessite simplement de suivre les directives du Bon Berger. Mary Baker Eddy prit à cœur la parole et les œuvres de Jésus. Un respect fidèle de ses directives et de son exemple pleins d’amour, nous guide à l’assurance que nous vivons la Vie qui est Dieu, ici, maintenant et à tout jamais.
Les « pas » conduisant à la perfection viennent progressivement, et par une pratique quotidienne. (S&S 26) Et nous marchons sur ce « chemin » sans crainte, car notre Berger nous précède toujours (S&S 27) et nous conduit au fait que « La Vie est éternelle. » (S&S 28)
Les hymnes suivants de l’Hymnaire de la Science Chrétienne nous apportent une inspiration merveilleuse lorsque nous suivons notre Berger vers la vie éternelle : Hymnes 245, 330, 148, et le bien-aimé 304.
Cette leçon métaphysique hebdomadaire est offerte sans frais au personnel et aux 1200 campeurs bénis chaque été au Camp CEDARS, ainsi qu’aux anciens élèves, leurs familles et les amis qui en font la demande. Cependant, les dons présents et futurs sont toujours nécessaires pour aider à couvrir les coûts de fonctionnement de ce service et pour réaliser les camps. Allez à l’adresse suivante pour soutenir en-ligne le travail de CedarS http://www.cedarscamps.org/giving/default.htm?id=1 Votre contribution, toujours bienvenue et déductible d’impôts, est particulièrement nécessaire pour le camp de cette année ainsi que pour le Fond de soutien “Adoptez le troupeau”.Il vous est toujours possible de faire un don en appelant le (636) 394-6162 ou d’envoyer un chèque par courrier à:
CEDARS Camps, 1314 Parkview Valley, Manchester, MO 63011
Note du Directeur du Camp: Ce partage est le plus récent de la série hebdomadaire émise sans interruption depuis 8 ans. La série des “mets” (idées d’application métaphysique) de la leçon biblique existe grâce à la contribution des Praticiens résident de CedarS et occasionnellement d’autres métaphysiciens.(Pour maintenir le flux des idées du praticien intact et pour permettre de les imprimer séparément “les sujets à envisager pour l’école du dimanche” viennent sur une page séparée ou par e-mail en suivant.) L’offre de cette semaine est destinée à encourager la poursuite de l’étude et l’application des idées de la leçon et pour l’école du dimanche à dynamiser la participation des étudiants et des enseignants en herbe de notre personnel. A l’origine envoyé SEULEMENT à mes élèves de l’école du dimanche et aux campeurs, aux membres du personnel et aux familles de CedarS qui voulaient poursuivre à la maison et dans leurs écoles du dimanche à domicile le même type d’étude centrée sur la leçon, d’application et d’inspiration qu’ils ont apprécié au camp, les “mets” ne sont en aucun cas destinés à être définitifs ou concluants ni en aucune façon à se substituer à l’étude quotidienne de la leçon.Les pensées présentées sont l’inspiration d’un moment et sont offertes pour donner un peu plus de dimension, de recul et d’angles nouveaux sur l’application quotidienne sur certaines des idées et des passages étudiés.Les Leçons Bibliques sont protégées par le droit d’auteur auprès de la Christian Science Publishing Society et sont imprimées dans le Christian Science Quarterly disponibles dans les salles de lecture de la Science chrétienne ou en ligne à eBibleLesson.com ou myBibleLesson.com.Les citations référencées (B..) sont tirées de la version King James de la Bible et (S..) du livre d’étude de Science Chrétienne : Science et Santé avec la clef des écritures de Mary Baker Eddy. La Bible et Science et Santé sont les livres ordonnés pasteurs de l’Eglise du Christ, Scientiste.La leçon biblique est le sermon lu lors des services dans chaque église de la Science Chrétienne dans le monde entier.La Leçon-Sermon parle à tous individuellement par le Christ, offrant un aperçu unique et des applications sur mesure pour chacun.Nous sommes heureux que vous ayez demandé ce partage métaphysique et nous espérons que vous trouverez ces idées utiles dans votre cheminement spirituel, en creusant plus profondément dans vos livres et en étroite liaison avec votre consolateur et Pasteur. Régalez-vous!
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