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[ Acceptez seulement le bien comme fait et le mal comme fable! ]
Idées métaphysiques pour la mise en pratique de la Leçon biblique de la Science Chrétienne sur:

« Adam et l'homme déchu »
Pour le 4 novembre au 10 novembre, 2019

par Christie Hanzlik, C.S., Boulder, CO
ccern@mac.com • christiecs.com

Chacun de nous trouvera notre propre inspiration dans la leçon biblique cette semaine, et pour moi, il s'agit de savoir notre raison d'être. Le texte d'or et la lecture alternée nous présentent deux points de vue
de la vie–la vue limitée, mortelle et la vue illimitée, éternelle. Le reste de la leçon explique que c'est notre
but de ne pas nous laisser abuser par la vue limitée, déformée, sinon d'accepter la vérité de notre être
illimitée et éternelle et de glorifier Vie / Vérité / Amour / Entendement.
En vérité nous n'avons pas le choix de décider si nous sommes mortels ou éternels. Nous sommes
éternels. C'est un fait! Cependant la plupart de nous faisons toujours tout notre possible de ne pas nous
laisser abuser par une vue embrumée et poussiéreuse de notre être afin de voir la vue complète, illimitée
et éternelle. La leçon biblique de la Science Chrétienne de cette semaine nous donne les outils pour faire
cela.
De début, le texte d'or juxtapose deux vues très différentes de la vie. La première option, « Nous voyons
nos années s'évanouir comme un son. » suggère que nos vies sont une histoire vide de sens, une histoire
limitée et mortelle. Les Bibles anglaises, NLT/NIV traduisent cette phrase: "ending our years with a
groan.” Pouah! La deuxième option est: « Que la grâce de l'Éternel, notre Dieu, soit sur nous! » ce que
les Bibles anglaises NLT/NIV traduisent, “May the Lord our God show us his approval.” La deuxième
option me semble beaucoup mieux!
Les deux options ne sont PAS vraies. Et on n'a pas le choix de décider laquelle d'accepter. Il y a
seulement une vue véritable… « la grâce de l'Éternel, notre Dieu, [ EST ] sur nous.” On n'a pas de choix.
Nous n'avons pas de libre arbitre à choisir ce qui est le fait absolu de notre être. Nous sommes ce que nous
sommes… les idées parfaites de l'Entendement. Nous ne pouvons pas échapper le fait que la grâce de
Dieu est sur nous. C'est la vérité et rien ne peut annuler cela. Et cependant, la vue embrumée et
poussiéreuse que la vie « s'épanouit comme un son » semble obscurcir le fait que Dieu nous montre Son
approbation infinie. Nous pouvons, à l'aide du Christ (la communication de Dieu à nous), reconnaître
notre être véritable.
La lecture alternée (LA) répète le thème du texte d'or, en énumérant les moyens qui nous mènent à penser
que l'existence est vide, et puis en nous tournant vers Dieu / Vérité, ce qui donne notre existence une
importance, un but. La LA nous montre que nous pouvons bâtir des maisons, planter des vignes, amasser
de l'argent et de l'or, et mener une vie épicurienne, mais à la fin de tout (parce que, bien sûr, ces choses se
terminent), qu'est-ce qui nous reste? Quel est le but? Il est difficile, pesant de penser de cela. Et cette
pesanteur me mène à … l'histoire de mon hamster!
Quand j'avais 9 ans, j'avais un hamster qui s'appelait Templeton. Un jour, pendant que je regardais
Templeton, une pensée inquiétante m'est venue: « Quel est le but de la vie de cet hamster? »
Malheureusement, je suis devenu bouleversé que l'hamster n'avait pas une raison d'être. Il n'était même
pas sur la chaîne alimentaire. Je ne pouvait pas raisonner ce qui puisse être la raison pour son existence.
Puis j'ai raisonné, « Comment suis-je plus significative que cet hamster? Quel est le but de mon
existence? » Je pourrais recevoir des notes excellentes à l'école, devenir une actrice fameuse, devenir un
juge acclamé, et peinturer le plus beau tableau, mais après 5.000 ans, quel import? Il me semblait que cela
ne faisait rien. Bien que je ne connaissais pas le livre de l'Ecclésiaste à ce temps-là, ces pensées étaient
similaires à la lamentation: « Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine
que j'avais prise à les exécuter; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à
tirer de ce qu'on fait sous le soleil. » (LA) Comme l'auteur de l'Ecclésiaste, je trouvais ses pensées très
pesantes et elles semblaient me mener dans une dépression. Je ne voyais aucune raison d'être. Je passait
des journées dans un stupeur… tout me semblait obscure…puisque je ne savais pas les mots pour décrire
mes pensées obscures aux autres, je n'ai jamais demandé de l'aide.
Mais, comme écrit le psalmiste, « Ma voix s'élève à Dieu, et je crie; Ma voix s'élève à Dieu, et il
m'écoutera. » (LA)
Je ne me souviens pas de savoir comment prier pour vaincre cette dépression, mais je me souviens
qu'enfin une pensée m'est arrivée… « un murmure doux et léger » …« le but de cet hamster est de donner
la joie et d'être l'expression complet de « hamster-esse. » Pour une fille de mon âge, cette idée du Christ
était très significative. Si cet hamster avait un but, j'en avais un aussi. Mon but est d'aimer, de donner, de
rendre service, et d'être l'expression complète de l'Amour. La simplicité de ce message suffisait pour
enlever la dépression. … J'ai découvert une raison d'être, un but pour l'existence qui me satisfaisait. Dans
5.000 ans–et pour l'éternité–mon identité comme aimant et généreuse expression de l'Amour est
important, sans doute. Notre expression individualisée de Dieu ne se termine jamais. C'est une
récompense qui continue à grandir. Je me suis rendu compte que mon expression unique d'Amour est
nécessaire, significative, et importante. Et, bien sûr, ce but basé sur l'amour est vrai pour vous aussi.
Alors, oui, Templeton a un but. Et notre être a un but aussi. Plus nous reconnaissons et vivons notre
but,–avec une vraie clarté, pas seulement passant le temps avec un vague idée et avec grognement,–plus
notre but est réalisé et magnifié. Que Dieu bénisse Templeton! (littéralement)

SECTION 1: NOTRE ÊTRE, SANS COMMENCEMENT
La première section de cette leçon répond à la question, « D'où sommes-nous venus? » On trouve la
réponse dans, « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. …
Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. En elle était la vie, et
la vie était la lumière des hommes. » (B1)
« Au commencement était la Parole. »—la Parole n'a pas commencé, elle a DÉJÀ existé. En réalité, ceci
est l'état d'être sans un commencement. Il n'y avait jamais un commencement à la Vie, jamais un
commencement à la Vérité, jamais un commencement à l'Amour, jamais un commencement à
l'Entendement. La Vie, la Vérité, l'Amour, l'Entendement ont TOUJOURS existé. Il n'y avait jamais un
moment quand il n'y avait pas de Vie, pas de Vérité, pas d'Amour, et soudainement, pouf! ils se sont
levés, commencé. Considérons ce métaphore visuel : il n'y avait jamais un moment quand il n'y avait pas
de lumière. Il existait toujours la lumière. Il n'y avait jamais un moment quand tout était sombre, un vide,
et soudainement, pouf! …il y a la lumière. Non. La lumière a toujours existé ..Et dans cet éternelle brillant
de la Vie, la Vérité, l'Amour, l'Entendement se trouve « la lumière des hommes. » (B1) La « lumière des
hommes. » n'a jamais commencé…elle a toujours existé.
Il n'y avait jamais un moment dans lequel l'Entendement ne connaissait pas chacun de nous. Personne
n'est oublié. l'Entendement est omniscient. Il n'y avait pas un moment quand nous n'existions pas et
soudainement … pouf … l'Entendement a pensé de nous. Non. Il n'y avait jamais un moment quand
l'Entendement était incomplet et nous étions inconnus. Nous avons toujours été connus; nous n'avons
jamais commencé. Alors, la question, « d'où sommes-nous venus » est erronée parce que nous avons
toujours existés. Il n'y avait pas de commencement. Plus exactement déclarée, la question serait, «
Comment avons-nous pris conscience de notre existence? »
Nous prenons de plus en plus conscience de notre vraie existence en mesure que prenons de plus en plus
conscience de l'Entendement éternel.
Il se peut que nous avons une vue ‹ imparfaite › de notre ontologie—la nature de notre être—mais notre
vue imparfaite ne rend pas notre être véritable moins vraie. Il se peut que nous avons une vue embrumée,
poussiéreuse de nous-mêmes, mais cela ne veut pas dire que c'est vraie. Notre vrai être—la « lumière des
hommes »—transparaît. Avec le sens spirituel (illimité) nous voyons notre vrai être / existence, et nous «
[portons] nos regards vers le récit spirituel de la création. » (S4) Notre but est de voir au-delà de la vue
imparfaite et déformée et de commencer à comprendre la vue complète de notre être en relation à la
Vérité, la Vie, et l'Amour sans commencement. Unité. Intégralité.
En fin de compte la question—d'où venons nous?—est erronée parce qu'elle suggère un point de
commencement. En vérité et en réalité, nous sommes sans commencement, éternels exactement comme la
lumière.

SECTION 2: LES OUTILS POUR DÉTRUIRE LE BROUILLARD EMBRUMÉ, POUSSIÉREUX
La deuxième section de la leçon plonge dans le mythe du dualisme, la croyance qu'il y a une version de
l'homme séparé de l'Entendement divisé de Dieu. « Le dualisme est la racine du péché. » (La Discipline
Spirituelle de Soi-même: Un Refuge contre le Péché par L. Ivimy Gwalter, Le Héraut de la Science
Chrétienne, le 1 février, 1971)
Autrement dit, dualisme est la racine de manque de mérite et de la croyance que nous sommes séparés de
l'Amour. Par conséquent à mesure que nous corrigeons la croyance en dualisme nous éradiquons le péché
(alias le manque de mérite).
Il n'y a pas de deuxième moi ou deuxième réalité, il y a seulement un être vrai qui est éternel. Une vue
embrumée ou déformée de cette réalité mène quelques-uns à penser qu'il y a une version spirituelle et une
version limitée de notre être, mais en vérité, nous avons seulement la version spirituelle. Notre but est
ainsi de ne pas nous laisser abuser par la vue embrumée pour voir la vraie image. Et la lumière de la
Vérité brille où la brume était.
Le mythe de dualisme—le commencement prétendu de la brume / vapeur—est décrit en Genèse 2: « Mais
une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. L'Éternel Dieu forma l'homme de la
poussière de la terre » (B6)
Beaucoup de nous ont senti quelquefois comme « l'homme de poussière » et ont vu nous-mêmes avec un
objectif embrumée, poussiéreuse. En effet, la brume / vapeur (les distractions du corps, les distractions qui
viennent des suggestions du monde) peut sembler cacher notre perfection et nous causer de sentir séparés
de tout qui est bon. À ces temps-là, peut-être nous crions comme le psalmiste, « Mon âme est attachée à
la poussière: Rends-moi la vie selon ta parole! » (B7) Et quand nous crions, nous entendrons la response
de Dieu / Amour, « Ne crains rien, Je viens à ton secours. » (B8)
Dieu nous donne les outils qu'il nous faut pour percer la brume / vapeur. En effet, la deuxième auteur
d'Esaïe dit que, nous SOMMES l'outil qui perce la brume et tous les obstacles mortels: « je fais de toi un
traîneau aigu, tout neuf, Garni de pointes; Tu écraseras, tu broieras les montagnes, Et tu rendras les
collines semblables à de la balle. Tu les vanneras, et le vent les emportera, Et un tourbillon les dispersera.
Mais toi, tu te réjouiras en l'Éternel, Tu mettras ta gloire dans le Saint d'Israël. » (B8) Voici notre but
après Dieu, d'être l'outil qui perce la vapeur.
Nous sommes l'outil qui perce la vapeur. Nous sommes « un traîneau aigu ». Nous sommes un « van. »
Mary Baker Eddy donne cette définition de van: « VAN: Ce qui sépare la fable du fait; ce qui donne de
l'action à la pensée. » (S5) Notre but est d'être un van, un van qui fonctionne à la Vérité. (Points de
bonus pour quelqu'un qui veut créer un cartoon image d'un van qui emporte le vapeur / la brume [ en
exploitant l'énergie infinie de l'Esprit Saint / Vent. ])
Il n'y a pas deux versions de nous. La vue embrumée, poussiéreuse, brumeuse n'est pas une deuxième
moi. L'identité de vapeur est un mensonge qui doit être emportée par le van, la vérité de notre être. Notre
être qui existe et fonctionne sans effort comme la « lumière du monde » naturellement perce et brille dans
la vapeur, en dispersant le.
Il y a des années, j'ai essayé de créer un vidéo à illustrer voyant à travers de la brume. J'ai utilisé une
machine qui crée le brouillard, et j'ai essayé de filmer cela pour créer un « Daily Lift » [ disponible
chaque jour de semaine à https://www.christianscience.com/christian-healing-today/daily-lift et traduit
quelquefois en français. ] Malheureusement, cela ne marchait pas bien et dans le vidéo je ressemblais à
une sorcière avec un chaudron plein d'une liquide qui bouillonnait—pas l'image que je voulais! Mais
l'idée était correcte. Nous pouvons tous être des vans qui emporte la vue brumeuse, embrumée,
poussiéreuse afin de voir notre réalité. Comme explique Mary Baker Eddy, « Enveloppés dans la brume
de l'erreur (l'erreur de croire que la matière peut être intelligente pour faire le bien ou le mal), nous ne
pouvons avoir de clairs aperçus de Dieu que lorsque la brume se disperse, ou qu'elle devient si légère que
nous apercevons l'image divine dans quelque parole ou action qui indique l'idée vraie–la suprématie et la
réalité du bien, le néant et l'irréalité du mal. » (S8)

SECTION 3: PAS DE DUALISME
La troisième section contient le mythe de Genèse 2 quand l'homme a atteint pour la première fois la
connaissance du mal. À l'école on pense peut-être que la connaissance est bonne. Mais la « connaissance
» obtenue de l'évidence brumeuse, embrumée, poussiéreuse n'est PAS digne de confiance. MBE définit la
connaissance telle qu'en Genèse 2 ainsi: « CONNAISSANCE. Témoignage provenant des cinq sens
corporels ; mortalité ; croyances et opinions ; théories, doctrines, et hypothèses humaines ; ce qui n'est pas
divin et l'origine du péché, de la maladie, et du mort ; le contraire de la Vérité et de la compréhension
spirituelles. » (SH 590:4)
La seule connaissance vraie est la connaissance obtenue directement de l'Entendement. l'Entendement
divin est notre seule véritable et réelle source de connaître.
Genèse introduit le concept de « l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Cela est le dualisme…la
croyance que et le bien et le mal sont puissants. Le dualisme mène à la croyance que nous sommes
séparés de Dieu / l'Entendement / la Vérité / l'Amour. D'après le mythe du vapeur Adam et Ève ont goûté
de « l'arbre de la connaissance » et puis ils étaient maudits. À partir de ce moment-là, leurs vies «
[s'évanouirissaient] comme un son. » (GT) Mais, bien sûr, Adam et Ève ne sont pas ni réels ni vrais. Ils
sont mythiques. En vérité, il y a seulement un bon arbre (métaphoriquement), et cet arbre produit
seulement de bonnes fruits. (B11) Comme explique Mary Baker Eddy, « ‹ L'arbre de la connaissance ›
symbolise l'irréalité » [tandis que] « ‹ L'arbre de la vie › est le symbole de la réalité éternelle, de l'être
éternel. » (S10)
Il n'y a PAS deux arbres. « L'arbre de la connaissance » est mythique. « L'arbre de la vie » est vrai. Nous
devons être le « van » et voir au delà du brouillard embrumé, poussiéreux afin de voir « l'arbre de la vie. »
Le mythe d'Adam et Ève nous aide à expliquer le dualisme, et avec cette explication nous pouvons
commencer le bon travail d'être « un traîneau aigu » et un « van. »
À mesure que nous ne nous laissons pas abuser par le mythe du vapeur, nous mangeons librement de «
l'arbre de la vie. » Dans les mots de Mary Baker Eddy, « C'est dans la mesure où nous admettons les
revendications, soit du bien, soit du mal, que nous déterminons l'harmonie de notre existence — notre
santé, notre longévité, notre christianisme. » (S14)
Il n'y a pas, en effet, deux arbres, mais nous devons être conscient de ne pas nous laisser être bercés à
accepté, à moitié endormis, une connaissance fausse. C'est notre nature d'être un « van » qui perce le
vapeur et emporte la connaissance fausse.

SECTION 4: LE SERPENT ESSAIE DE NOUS INCITER À VOULOIR « L'ARBRE DE
CONNAISSANCE » EN NOUS TROMPANT

« L'arbre de la connaissance » est seulement un mythe, comme des éléphants violets sont un mythe. Nous
pouvons tous imaginer un éléphant violet, et nous pouvons peindre violet un éléphant gris, mais cela ne
fera un éléphant violet vrai ou réel. Similairement, nous pouvons parler de la phrase « l'arbre de la
connaissance, » mais parler de cela ne fait pas une réalité ou vérité de cela. Et cependant, il aide d'avoir la
phrase, « arbre de la connaissance » afin de vaincre le dualisme.
La quatrième section introduit le concept du serpent menteur, qui suggère la réalité du mal et tente Adam
et Ève de manger de « l'arbre de la connaissance. » (B13, B14) Il n'y a PAS de serpent qui parle. Le
serpent parlant est simplement un métaphore pour une suggestion fausse, une illusion, un mensonge.
Avoir la phrase « serpent parlant » nous aide à vaincre les suggestions du mal. Cela nous donne des mots
avec lesquels nous pouvons parler du concept d'un serpent parlant, mais il n'a néanmoins pas de base dans
la réalité.
Le mal et le bien n'existent pas ensemble, tous les deux. « "Le bien seulement est réel…Il n'y a pas deux
créations. Ce qui apparaît être matériel est seulement une vue imparfaite de la seule création spirituelle. »
(« Good Alone is Real » par Milton Simon, Oct 1961 CSJ [ Malheureusement cet article n'a pas été traduit
en français. ] ) Les mauvaises croyances sont seulement le brouillard embrumé et poussiéreux qui semble
obscurer et déformer la Vérité éternelle. À mesure que nous — « un traîneau aigu »—perçons le
brouillard embrumé et poussiéreux, nous ne sommes pas trompés et nous avons de clairs aperçus du bien,
l'éternel, et le véritable. Le « serpent parlant » est n'importe quoi qui semblerait suggérer que nous
pouvons nous laisser abuser par le vapeur / la brume. Mais, c'est notre nature même comme des « vans »
d'emporter cette brume. Le serpent ne peut pas interrompre notre être.
« La Vérité est une épée à deux tranchants qui protège et guide. » (S16) L'épée de la Vérité détruit le
serpent faux et perce le vapeur. « Rayonnante de clémence et de justice, l'épée de la Vérité brille au loin
et marque la distance infinie entre la Vérité et l'erreur, entre le matériel et le spirituel — l'irréel et le réel. »
(S16) (Plus de points de bonus pour quelqu'un qui veut créer un cartoon image d'une épée brillante
perçant la brume et détruisant les mots menteurs du serpent faux.)
Il pourrait être tentant de penser que nous aurons plus de « connaissance », et que nous serons plus
semblable à Dieu, si nous mangeons de « l'arbre de la connaissance. » Mais l'Entendement est trop pur
pour voir le mal. "Une connaissance du mal ne fut jamais l'essence ni de la divinité ni de l'homme. »
(S17)
Inévitablement, le mythe du vapeur s'évapore et le serpent se révèle comme un menteur. La Vérité se
révèle toujours. Comme explique Mary Baker Eddy, « Lorsque se dissipera la vapeur de l'entendement
mortel, alors sera effacée la malédiction prononcée contre la femme: ‹ Tu enfanteras avec douleur. › La
Science divine dissipe les nuages de l'erreur avec la lumière de la Vérité, lève le rideau sur l'homme et
révèle qu'il n'est jamais né et ne meurt jamais, mais coexiste avec son créateur. » (S19)

SECTION 5: CHRIST, LA VÉRITÉ, NOUS PROTÈGE DU SERPENT
Section 4 nous a rappelé d'être conscient des suggestions fausses du serpent parlant. Et, maintenant,
Section 5 nous assure que Christ nous protège des mensonges du serpent. « Le Christ est la vraie idée
énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes, parlant à la conscience humaine. » (S20) Le
Christ nous rappelle que nous sommes sûrs et que seulement le bien est réel. Bien qu'il puisse sembler que
la malédiction du mal vole partout, autour de nous, « la malédiction sans cause n'a point d'effet.» (B15)
Alors la malédiction ne peut pas nous toucher. Bien qu'il puisse sembler que le serpent parlant nous
raconte des histoires de tristesse et vies vides de sens, « quand il n'y a point de rapporteur, [serpent ] la
querelle s'apaise.” (B15) Quand nous dévoilons le serpent, il est réduit au silence.
Bien que le mythe du vapeur d'Adam nous fasse croire que nous avons une existence délimitée par la
naissance et la mort, le message clair de Christ, Vérité, nous assure que nous n'avons ni commencement ni
terminaison dans l'éternité. « Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, »
(B17)
Christ, Vérité, dévoile les mensonges du serpent. Comme écrit Mary Baker Eddy, « Grâce à son
discernement de l'opposé spirituel de la matérialité, voire le chemin par le Christ, la Vérité, l'homme
rouvrira avec la clef de la Science divine les portes du Paradis que les croyances humaines ont fermées, et
il se trouvera non déchu, mais droit, pur, et libre, n'ayant pas besoin de consulter des almanachs pour y
découvrir les probabilités concernant sa vie ou le temps, n'ayant pas besoin de se livrer à l'étude du
cerveau pour apprendre jusqu'à quel point il est homme. » (S21)

SECTION 6: CHRIST JÉSUS DÉMONTRE COMMENT VAINCRE LE SERPENT
Section 2 a expliqué que nous sommes comme un « traîneau aigu » et un « van » prêts à vaincre les
mensonges de dualisme, à corriger la croyance fausse d'une puissance mauvaise qui défie le bien
omniprésent. Dans la sixième section, nous découvrons que « la parole de Dieu est vivante et efficace,
plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants,…» prête à renverser les mensonges. (B18)
Christ Jésus, qui a mieux exprimé la « vraie idée énonçant le bien » (S&H 332:9) a démontré comment
utiliser la Parole de Dieu pour renverser les mensonges du serpent. Christ Jésus a expliqué, « je ne suis
pas venu apporter la paix, mais l'épée. » (B20) Christ Jésus n'a ni ignoré ni acquiescé aux mensonges ( ou
fables ) du serpent. Sa mission était de les renverser avec « l'épée. » (S22)
Et il nous a commandé à le joindre à renverser les mensonges. Christ Jésus a dit à ses disciples qu'il (avec
la Parole de Dieu) nous a donné « le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la
puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire. » (Luc 10:19) Ceci est notre déclaration de mission.
Notre but est de marcher sur des serpents (métaphoriques) et sur des scorpions, et sur toute la puissance
de l'ennemi. Nous sommes le « traîneau aigu ” et le « van » et alors détruire les mensonges du serpent est
une fonction de notre être. Et nous sommes bénéficiés pendant que nous renversons les mensonges. La
LOI: Vous n'êtes jamais plus sûrs qu'en faisant le travail de Dieu. Comme Paul a rassuré les Philippiens, il
nous rassure que « la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en
Jésus Christ. » (B22)
À mesure que nous avons un sens de plus en plus complet de l'unité et nous rejetons le mensonge de
dualisme, nous trouvons que cette vérité renverse n'importe quelle croyance de discorde. Comme explique
Mary Baker Eddy, « Cette compréhension chasse l'erreur et guérit les malades, et, si vous la possédez,
vous pouvez parler ‹ comme ayant autorité. › » (S26) Nous avons les outils pour vaincre les suggestions
serpentines. Il est important de remarquer que le serpent peut seulement suggérer. Le serpent ne peut
jamais nous toucher.

SECTION 7: NOS INSTRUCTIONS
La septième section me rappelle d'une grande grosse caisse, frappant dans le final d'une symphonie. Si les
premières six sections ne nous a pas réveillé, la septième nous crie HAUT ET FORT (avec assurance):
Notre raison d'être est de « [ louer ] l'Éternel pour sa bonté » et défendre la Vérité. Et qu'est-ce qui se
passe quand nous faisons cela? Notre âme altérée est satisfait et notre 'âme affamée est comblée de biens.
(B23) À mesure que nous sommes de plus en plus capable de réfuter le serpent et sentir satisfait et digne
et plein de raison d'être, nous serons des praticiens de plus en plus efficaces. Nous serons satisfaits. (B25)
Mary Baker Eddy nous donne des instructions claires pour nous réveiller des effets soporifiques du serpent. Pour moi, les dernières trois citations emphatiques résonnent comme de grands fracas sur la grosse caisse…elles nous réveillent!
• « Devenez conscient un seul moment du fait que la Vie et l'intelligence sont purement spirituelles,
qu'elles ne sont ni dans la matière ni matérielles, et alors le corps ne fera entendre aucune plainte. » (S28)
• « Élevez-vous dans la force de l'Esprit pour résister à tout ce qui est dissemblable au bien. Dieu en a
rendu l'homme capable, et rien ne saurait invalider les capacités et le pouvoir dont l'homme est
divinement doué. » (S29)
• « Citoyens du monde, acceptez la ‹ liberté glorieuse des enfants de Dieu ›, et soyez libres! » (S30)
Les mensonges du serpent n'ont une chance face à ces épées de la Vérité.

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